La Rochelle, France | AFP | lundi 05/09/2016 - Quatre jeunes gens qui avaient volé, tôt lundi matin, le catamaran d'un club de voile de La Rochelle ont sombré avant même d'avoir quitté le port: ils avaient omis de replacer les bouchons fermant les coques de l'embarcation, a-t-on appris de source policière.
Deux hommes et deux femmes âgés d'une vingtaine d'années, et vraisemblablement ivres, ont dérobé lundi vers 05H00 un catamaran appartenant au club de voile de l'ASPTT La Rochelle. Mais faute d'avoir pensé à visser les bouchons empêchant l'eau de rentrer dans les flotteurs du bateau, les marins d'eau douce ont rapidement fait naufrage dans le chenal du vieux-port, sans même avoir atteint la mer.
C'est un éclusier qui les a aperçus et contacté les pompiers, qui sont venus les repêcher. La police, quant à elle, les a placés au régime sec, en cellule de dégrisement en même temps qu'en garde à vue pour vol.
"Ce type d'embarcation est prévue pour maximum deux personnes. A quatre, l'équilibre devait être précaire. Mais alors avec l'eau dans les flotteurs... Apparemment, ils étaient saouls", a indiqué à l'AFP Patrice Bernier, maître de port principal du port de plaisance des Minimes.
Les quatre jeunes ont été relâchés lundi après-midi. Les éventuelles poursuites judiciaires à leur encontre dépendront du club de voile mais il semble que le bateau n'a pas eu le temps de subir des dégâts.
Deux hommes et deux femmes âgés d'une vingtaine d'années, et vraisemblablement ivres, ont dérobé lundi vers 05H00 un catamaran appartenant au club de voile de l'ASPTT La Rochelle. Mais faute d'avoir pensé à visser les bouchons empêchant l'eau de rentrer dans les flotteurs du bateau, les marins d'eau douce ont rapidement fait naufrage dans le chenal du vieux-port, sans même avoir atteint la mer.
C'est un éclusier qui les a aperçus et contacté les pompiers, qui sont venus les repêcher. La police, quant à elle, les a placés au régime sec, en cellule de dégrisement en même temps qu'en garde à vue pour vol.
"Ce type d'embarcation est prévue pour maximum deux personnes. A quatre, l'équilibre devait être précaire. Mais alors avec l'eau dans les flotteurs... Apparemment, ils étaient saouls", a indiqué à l'AFP Patrice Bernier, maître de port principal du port de plaisance des Minimes.
Les quatre jeunes ont été relâchés lundi après-midi. Les éventuelles poursuites judiciaires à leur encontre dépendront du club de voile mais il semble que le bateau n'a pas eu le temps de subir des dégâts.