Ils étaient entre 250 et 300 samedi matin à avoir répondu à l'appel de Teva Rohfritsch dans les jardins de Paofai.
Un collectif réuni de manière informelle, autour d'un seul mot d'ordre: "ça suffit!"
Des citoyens de tous horizons, venus seuls ou en famille, vêtus de blanc, des ouvriers, des mères au foyers, des chefs d'entreprise, des "monsieur et madame tout le monde" qui veulent faire entendre leur voix et exprimer leur "ras-le-bol". "Certains n'ont pas put se déplacer, explique Teva Rohfritsch, ils nous ont laissé des messages sur les répondeurs pour exprimer leur soutien, ils souhaitent recevoir la pétition, certains sont dans les îles ou des petits comités se sont montés et souhaitent s'associer au collectif.
Au dela du nombre, ce qui est important c'est que l'on ai provoqué une réaction de la population
C'est un départ, et c'est un beau départ. "
Questionné sur la suite qu'il souhaite donner à ce premier rende-vous, Teva Rohfritsch s'en réfère au collectif,"il faut faire une concertation, les gens doivent s'exprimer, dire ce qu'ils attendent.
On ne peut rester comme ça, la Polynésie a besoin d'avoir un gouvernement qui gouverne, une assemblée qui légifère, on ne peut pas tenir comme ça jusqu'en 2013.
Il faut ramener la parole au sein de la population."
"Monsieur Tong Sang devrait prendre ses responsabilités et avoir le courage de démissionner, il a un gouvernement résiduel, il a 9 représentants sur 57 qui le soutiennent à l'assemblée"
"Ensuite, s'il démissionne, l'assemblée va élire un nouveau gouvernement peut-être, mais pour combien de temps, mais avec quelle composition , avec quelles alliances, sur quelle bases, pour ma part je ne rentre plus dans ce jeu là, j'espère que le gouvernement, la prochaine majorité, quelle qu'elle soit, ait les moyens de gouverner durablement. Il faut modifier ce mode de scrutin et celui qui remportera le résultat des urnes devra avoir une large majorité pour gouverner. "
" Je ne suis pas là pour moi, j'essaie de provoquer un réflexe citoyen, et je suis là en tant que citoyen, ce qui est important c'est de se réunir et de se concerter, de mettre un mouvement populaire en marche".
Un collectif réuni de manière informelle, autour d'un seul mot d'ordre: "ça suffit!"
Des citoyens de tous horizons, venus seuls ou en famille, vêtus de blanc, des ouvriers, des mères au foyers, des chefs d'entreprise, des "monsieur et madame tout le monde" qui veulent faire entendre leur voix et exprimer leur "ras-le-bol". "Certains n'ont pas put se déplacer, explique Teva Rohfritsch, ils nous ont laissé des messages sur les répondeurs pour exprimer leur soutien, ils souhaitent recevoir la pétition, certains sont dans les îles ou des petits comités se sont montés et souhaitent s'associer au collectif.
Au dela du nombre, ce qui est important c'est que l'on ai provoqué une réaction de la population
C'est un départ, et c'est un beau départ. "
Questionné sur la suite qu'il souhaite donner à ce premier rende-vous, Teva Rohfritsch s'en réfère au collectif,"il faut faire une concertation, les gens doivent s'exprimer, dire ce qu'ils attendent.
On ne peut rester comme ça, la Polynésie a besoin d'avoir un gouvernement qui gouverne, une assemblée qui légifère, on ne peut pas tenir comme ça jusqu'en 2013.
Il faut ramener la parole au sein de la population."
"Monsieur Tong Sang devrait prendre ses responsabilités et avoir le courage de démissionner, il a un gouvernement résiduel, il a 9 représentants sur 57 qui le soutiennent à l'assemblée"
"Ensuite, s'il démissionne, l'assemblée va élire un nouveau gouvernement peut-être, mais pour combien de temps, mais avec quelle composition , avec quelles alliances, sur quelle bases, pour ma part je ne rentre plus dans ce jeu là, j'espère que le gouvernement, la prochaine majorité, quelle qu'elle soit, ait les moyens de gouverner durablement. Il faut modifier ce mode de scrutin et celui qui remportera le résultat des urnes devra avoir une large majorité pour gouverner. "
" Je ne suis pas là pour moi, j'essaie de provoquer un réflexe citoyen, et je suis là en tant que citoyen, ce qui est important c'est de se réunir et de se concerter, de mettre un mouvement populaire en marche".
Vaiarii, 24 ans, employé:
depuis 2004, on vit dans une totale instabilité politique. "ca suffit", aujourd'hui, il faut que ça change. Je suis ici, parceque c'est l'occasion d'exprimer un ras-le-bol, ceux qui ne disent rien sont complice de cette instabilité et de ce qui se passe. On demande de nouvelles élections cette année,la Polynésie ne tiendra pas jusqu'en 2013, on ne eut plus attendre! Teva est un leader, il peut réunir, il nous faut des nouvelles têtes, il faut renouveler les équipes"
Je suis venue soutenir Teva, tout ce qu'il fait me paraît juste, c'est un travailleur, il a travaillé sur des gros dossiers, des dossiers importants... J'espère que ce mouvement saura mobiliser du monde et que ça aboutisse à du changement! "
depuis 2004, on vit dans une totale instabilité politique. "ca suffit", aujourd'hui, il faut que ça change. Je suis ici, parceque c'est l'occasion d'exprimer un ras-le-bol, ceux qui ne disent rien sont complice de cette instabilité et de ce qui se passe. On demande de nouvelles élections cette année,la Polynésie ne tiendra pas jusqu'en 2013, on ne eut plus attendre! Teva est un leader, il peut réunir, il nous faut des nouvelles têtes, il faut renouveler les équipes"
Je suis venue soutenir Teva, tout ce qu'il fait me paraît juste, c'est un travailleur, il a travaillé sur des gros dossiers, des dossiers importants... J'espère que ce mouvement saura mobiliser du monde et que ça aboutisse à du changement! "
Jean-Pierre Beaury, ( ex-ministre des sports) est également venu exprimer son soutien à l'action, "je suis venu en simple citoyen en tant qu'ami de Teva. "ça suffit", c'est quelque chose que j'ai entendu dans les quartiers, quand j'étais ministre de la jeunesse et des sports, le pays ne peut plus attendre, il faut un changement!, 250 personnes, c'est bien, et ce n'est pas le nombre qui compte, c'est la motivation! "
