"L'idée de créer un cimetière virtuel, entièrement gratuit, m'est venue à la perte de ma chienne Lolie, fin 2005, qui occupait une grande place dans nos coeurs et au sein de notre famille", raconte Bruno Lebouc, inventeur des sites www.cimetierepourchien.com. et www.cimetierepourchat.com
Aujourd'hui, de plus en plus d'internautes, "de tous horizons", créent une tombe virtuelle pour leur animal de compagnie et échangent leurs émotions avec les amoureux des bêtes.
"Ils mettent souvent une photo sur la stèle et un message auquel les visiteurs du site peuvent répondre", poursuit Bruno Lebouc. Toutefois, ces messages de condoléances n'apparaissent qu'après la validation par les propriétaires "pour éviter tout débordement".
"Il y a près de 1.800 chiens et 630 chats dans nos cimetières", relate M. Lebouc.
Le site propose aussi un forum de discussions. "Ce qui revient le plus souvent dans les échanges, c'est que ce concept est un bon moyen pour combler et partager un vide affectif lié à la perte d'un animal", dit-il.
Selon Daniel Coing-Daguet, créateur du site www.lecimetiere-animalier.net, "les gens fleurissent régulièrement les tombes de leurs animaux lorsque les fleurs sont fanées".
D'autres sites rendent hommage à des chevaux, rats, oiseaux, furets, coqs et même à des reptiles.
"Avec tes yeux radieux, tu es belle avec ta petite queue plein de petit poil et ta fourrure qui sent bon, tu seras ma meilleure gerbille", ont écrit les maîtres de Cachou, mort en 2008.
Le perroquet Jacquot "a donné 39 ans de bonheur" à sa propriétaire. "Tu as partagé mon enfance, mon adolescence, ma vie de femme, mes secrets, mes peines, mes joies, tu as été mon ami de toujours, mon confident. Je t'aime, mon Jacquot", peut-on lire au dessous de sa photo.
Que ce soit pour le hamster Châtaigne, le berger allemand Junior, le lapin Chonchon que "leurs maîtres n'oublieront jamais" ou pour le poisson chips "qui en avait marre de la vie et qui c'est donc suicidé...", les témoignages d'amour, parfois insolites, foisonnent sur le net.
it/jca/jpa
Aujourd'hui, de plus en plus d'internautes, "de tous horizons", créent une tombe virtuelle pour leur animal de compagnie et échangent leurs émotions avec les amoureux des bêtes.
"Ils mettent souvent une photo sur la stèle et un message auquel les visiteurs du site peuvent répondre", poursuit Bruno Lebouc. Toutefois, ces messages de condoléances n'apparaissent qu'après la validation par les propriétaires "pour éviter tout débordement".
"Il y a près de 1.800 chiens et 630 chats dans nos cimetières", relate M. Lebouc.
Le site propose aussi un forum de discussions. "Ce qui revient le plus souvent dans les échanges, c'est que ce concept est un bon moyen pour combler et partager un vide affectif lié à la perte d'un animal", dit-il.
Selon Daniel Coing-Daguet, créateur du site www.lecimetiere-animalier.net, "les gens fleurissent régulièrement les tombes de leurs animaux lorsque les fleurs sont fanées".
D'autres sites rendent hommage à des chevaux, rats, oiseaux, furets, coqs et même à des reptiles.
"Avec tes yeux radieux, tu es belle avec ta petite queue plein de petit poil et ta fourrure qui sent bon, tu seras ma meilleure gerbille", ont écrit les maîtres de Cachou, mort en 2008.
Le perroquet Jacquot "a donné 39 ans de bonheur" à sa propriétaire. "Tu as partagé mon enfance, mon adolescence, ma vie de femme, mes secrets, mes peines, mes joies, tu as été mon ami de toujours, mon confident. Je t'aime, mon Jacquot", peut-on lire au dessous de sa photo.
Que ce soit pour le hamster Châtaigne, le berger allemand Junior, le lapin Chonchon que "leurs maîtres n'oublieront jamais" ou pour le poisson chips "qui en avait marre de la vie et qui c'est donc suicidé...", les témoignages d'amour, parfois insolites, foisonnent sur le net.
it/jca/jpa