Bruxelles, Belgique | AFP | lundi 08/03/2021 - La pandémie de coronavirus et ses conséquences économiques et politiques aggravent les difficultés auxquelles sont confrontées les femmes en matière d'égalité des droits, ont mis en garde lundi trois responsables en vue, dont l'Américaine Kamala Harris.
La Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern, la vice-présidente américaine Kamala Harris et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen se sont tour à tour adressées au Parlement européen à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes.
"Le Covid-19 a ravagé nos systèmes de santé, nos économies, nos moyens de subsistance, mais il a également exacerbé les inégalités structurelles qui touchent de manière disproportionnée les femmes", a déclaré Jacinda Ardern, affirmant que les femmes étaient "en première ligne dans la lutte" contre la pandémie.
Soit par leur profession (médecins, infirmières, scientifiques, soignantes...), soit parce qu'elles sont "directement touchées par le virus", mais aussi à cause "d'une intensification des violences domestiques", a ajouté la Néo-Zélandaise, qui était la première à prendre la parole.
"Pour dire les choses simplement, notre monde ne fonctionne pas encore pour les femmes comme il le devrait", a ensuite affirmé Kamala Harris.
"Nous devons donner aux femmes une voix égale dans la prise de décision, car c'est essentiel pour des démocraties libres et équitables", a-t-elle plaidé.
Ursula von der Leyen a ensuite affirmé son ambition de faire de l'Europe "un continent d'égalité des chances entre les hommes et les femmes".
Mais "je sais que nous n'en sommes pas encore là", a-t-elle ajouté, évoquant les propositions qu'elle entend présenter pour améliorer la situation, dont un projet de directive dévoilé la semaine dernière sur les inégalités salariales dans l'UE.
"Permettez-moi de citer la vice-présidente Harris en adaptant ses propos à l'Europe: nous devons montrer à chaque enfant d'Europe qu'il n'y a pas de limites à qui peut diriger et occuper des postes de pouvoir dans notre Union, sans distinction de couleur ou de sexe", a conclu la dirigeante allemande.
La Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern, la vice-présidente américaine Kamala Harris et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen se sont tour à tour adressées au Parlement européen à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes.
"Le Covid-19 a ravagé nos systèmes de santé, nos économies, nos moyens de subsistance, mais il a également exacerbé les inégalités structurelles qui touchent de manière disproportionnée les femmes", a déclaré Jacinda Ardern, affirmant que les femmes étaient "en première ligne dans la lutte" contre la pandémie.
Soit par leur profession (médecins, infirmières, scientifiques, soignantes...), soit parce qu'elles sont "directement touchées par le virus", mais aussi à cause "d'une intensification des violences domestiques", a ajouté la Néo-Zélandaise, qui était la première à prendre la parole.
"Pour dire les choses simplement, notre monde ne fonctionne pas encore pour les femmes comme il le devrait", a ensuite affirmé Kamala Harris.
"Nous devons donner aux femmes une voix égale dans la prise de décision, car c'est essentiel pour des démocraties libres et équitables", a-t-elle plaidé.
Ursula von der Leyen a ensuite affirmé son ambition de faire de l'Europe "un continent d'égalité des chances entre les hommes et les femmes".
Mais "je sais que nous n'en sommes pas encore là", a-t-elle ajouté, évoquant les propositions qu'elle entend présenter pour améliorer la situation, dont un projet de directive dévoilé la semaine dernière sur les inégalités salariales dans l'UE.
"Permettez-moi de citer la vice-présidente Harris en adaptant ses propos à l'Europe: nous devons montrer à chaque enfant d'Europe qu'il n'y a pas de limites à qui peut diriger et occuper des postes de pouvoir dans notre Union, sans distinction de couleur ou de sexe", a conclu la dirigeante allemande.