Pointe-à-Pitre, France | AFP | samedi 26/05/2017 - L'assignation au tribunal civil de Pointe-à-Pitre, de l’État français par un groupement de syndicats et de familles de victimes des massacres de manifestants en mai 1967 par les forces de l'ordre, prévue vendredi a été reportée au 23 juin, a indiqué Me Patrice Tacita, leur avocat.
L'assignation de L’État au tribunal civil vise, selon la même source, à faire la lumière sur ces événements où cinquante ans après, de nombreuses données restent encore inconnues, notamment "les lieux où les corps ont été enterrés, le nombre de morts" et sur la demande de l'ouverture de certaines archives.
Parmi les requêtes des plaignants, une "expertise psychologique et psychiatrique" pour "traumatisme massif". Le report est dû à "l'obligation déontologique et procédurale de communiquer les pièces", a indiqué l'avocat.
Par ailleurs, une plainte a également été déposée par l'intersyndicale, a précisé l'avocat Harry Nirelep, "contre L’État Français pour crime contre l'Humanité, pour ces massacres perpétrés" il y a cinquante ans, les 26 et 27 mai 2967.
L'assignation de L’État au tribunal civil vise, selon la même source, à faire la lumière sur ces événements où cinquante ans après, de nombreuses données restent encore inconnues, notamment "les lieux où les corps ont été enterrés, le nombre de morts" et sur la demande de l'ouverture de certaines archives.
Parmi les requêtes des plaignants, une "expertise psychologique et psychiatrique" pour "traumatisme massif". Le report est dû à "l'obligation déontologique et procédurale de communiquer les pièces", a indiqué l'avocat.
Par ailleurs, une plainte a également été déposée par l'intersyndicale, a précisé l'avocat Harry Nirelep, "contre L’État Français pour crime contre l'Humanité, pour ces massacres perpétrés" il y a cinquante ans, les 26 et 27 mai 2967.