PAPEETE, le 2 juillet 2018 - La deuxième édition du projet baptisé Francoplanète vient de s’achever avec la mise en ligne d’un magazine. Il contient des articles écrits par des élèves installés dans différents endroits du monde. Leur point commun ? Tous parlent le français. En Polynésie, c’est le collège d’Afareaitu qui a pris le relais de ceux de Ua Pou.
La nouvelle édition du projet Francoplanète est terminée. Elle a duré plusieurs mois, entre janvier et juin. Le projet a été financé par le Conseil scolaire catholique Providence et a consisté en la rédaction d’articles mais aussi la recherche d’informations sur des sujets choisis.
De cette manière, les élèves ont pu se mettre dans la peau de journalistes et découvrir les facettes du métier. Le magazine qui rassemble tous les articles de tous les établissements scolaires est désormais en ligne.
68 pages de magazine
Au fil des 68 pages, le lecteur peut découvrir des textes sur, au Canada : le bilinguisme, la pollution par les industries pétrochimiques, la dépression galopante chez les jeunes, à Moorea : la cuisine, le Heiva, les costumes et instruments de musique, au Rwanda : le développement technologique ou les racines du peuple, à Haïti : la musique et la cuisine. C’est un magazine écrit par et pour les jeunes du monde francophone.
L’objectif de ce projet international est resté le même que lors de la première édition, à savoir : "conduire les élèves de la francophonie à découvrir l’étendu souvent insoupçonnée de cette francophonie afin de les amener à mieux cerner l’infinie diversité de cette culture aux multiples facettes qui constitue leur héritage et ainsi renforcer leur fierté linguistique et culturel".
7 classes engagées
Des classes de l’Ontario ont été jumelées avec des classes francophones installées aux quatre coins du monde : Rwanda, Louisiane, Polynésie française. Au total, sept classes d’enfants entre 14 et 18 ans ont été sollicitées. Pour la Polynésie française ce sont les 3e prépa-pro du collège d’Afareaitu à Moorea qui ont joué le jeu.
Sur des heures de cours dédiées, ils ont récolté des informations sur les sujets qu'ils ont choisis. Ils ont surfé sur internet, consulté des encyclopédies. Toute la matière récoltée (sous forme de texte, photo, vidéo, son) a ensuite être envoyée à la classe correspondante située en Ontario. Il y a un an, ce sont les élèves de la classe de 3e de Ua Pou qui avaient été impliqués.
La nouvelle édition du projet Francoplanète est terminée. Elle a duré plusieurs mois, entre janvier et juin. Le projet a été financé par le Conseil scolaire catholique Providence et a consisté en la rédaction d’articles mais aussi la recherche d’informations sur des sujets choisis.
De cette manière, les élèves ont pu se mettre dans la peau de journalistes et découvrir les facettes du métier. Le magazine qui rassemble tous les articles de tous les établissements scolaires est désormais en ligne.
68 pages de magazine
Au fil des 68 pages, le lecteur peut découvrir des textes sur, au Canada : le bilinguisme, la pollution par les industries pétrochimiques, la dépression galopante chez les jeunes, à Moorea : la cuisine, le Heiva, les costumes et instruments de musique, au Rwanda : le développement technologique ou les racines du peuple, à Haïti : la musique et la cuisine. C’est un magazine écrit par et pour les jeunes du monde francophone.
L’objectif de ce projet international est resté le même que lors de la première édition, à savoir : "conduire les élèves de la francophonie à découvrir l’étendu souvent insoupçonnée de cette francophonie afin de les amener à mieux cerner l’infinie diversité de cette culture aux multiples facettes qui constitue leur héritage et ainsi renforcer leur fierté linguistique et culturel".
7 classes engagées
Des classes de l’Ontario ont été jumelées avec des classes francophones installées aux quatre coins du monde : Rwanda, Louisiane, Polynésie française. Au total, sept classes d’enfants entre 14 et 18 ans ont été sollicitées. Pour la Polynésie française ce sont les 3e prépa-pro du collège d’Afareaitu à Moorea qui ont joué le jeu.
Sur des heures de cours dédiées, ils ont récolté des informations sur les sujets qu'ils ont choisis. Ils ont surfé sur internet, consulté des encyclopédies. Toute la matière récoltée (sous forme de texte, photo, vidéo, son) a ensuite être envoyée à la classe correspondante située en Ontario. Il y a un an, ce sont les élèves de la classe de 3e de Ua Pou qui avaient été impliqués.