Paris, France | AFP | samedi 29/04/2017 - Après avoir été déclarée morte par un médecin du SAMU, une femme de 49 ans a été sauvée jeudi 20 avril par des policiers venus effectuer les constatations d'usage, a-t-on appris jeudi de source policière.
La femme, souffrant de "problèmes d'anorexie" depuis des années, a été trouvée inanimée, "en arrêt cardiaque", chez elle dans le 13e arrondissement de Paris, selon une source policière qui a confirmé une information du Parisien.
Le médecin du SAMU a rédigé un certificat de décès à 18H15. En raison de son âge, considéré comme encore jeune, un "obstacle medico-légal" est rédigé qui exige une recherche des causes de la mort. "Des policiers ont alors été appelés comme il se doit pour faire des constatations", relate la source policière.
Ils ont constaté que la femme avait encore un pouls. Les policiers ont alors effectué un massage cardiaque jusqu'à son transport à l'hôpital Necker.
La patiente a bénéficié d'une "réanimation très lourde", "ses chances de survie restent faibles", a dit le docteur François Braun, président de SAMU Urgences de France.
"La prise en charge d’un accident cardiaque suit des recommandations internationales très précises mais ce n’est pas toujours un diagnostic facile. Et puis, malheureusement, il peut y avoir des circonstances exceptionnelles trompeuses, par exemple une hypothermie très importante", a-t-il expliqué à l'AFP.
"Il n’y a pas tellement à s’interroger sur la prise en charge, qui a été traditionnelle", a dit le praticien.
La femme, souffrant de "problèmes d'anorexie" depuis des années, a été trouvée inanimée, "en arrêt cardiaque", chez elle dans le 13e arrondissement de Paris, selon une source policière qui a confirmé une information du Parisien.
Le médecin du SAMU a rédigé un certificat de décès à 18H15. En raison de son âge, considéré comme encore jeune, un "obstacle medico-légal" est rédigé qui exige une recherche des causes de la mort. "Des policiers ont alors été appelés comme il se doit pour faire des constatations", relate la source policière.
Ils ont constaté que la femme avait encore un pouls. Les policiers ont alors effectué un massage cardiaque jusqu'à son transport à l'hôpital Necker.
La patiente a bénéficié d'une "réanimation très lourde", "ses chances de survie restent faibles", a dit le docteur François Braun, président de SAMU Urgences de France.
"La prise en charge d’un accident cardiaque suit des recommandations internationales très précises mais ce n’est pas toujours un diagnostic facile. Et puis, malheureusement, il peut y avoir des circonstances exceptionnelles trompeuses, par exemple une hypothermie très importante", a-t-il expliqué à l'AFP.
"Il n’y a pas tellement à s’interroger sur la prise en charge, qui a été traditionnelle", a dit le praticien.