Cette formation aboutira sur l’obtention d’un diplôme d’Etat homologué au niveau IV (Baccalauréat) appelé le B.P.J.E.P.S, diplôme professionnel créé en 2001 et délivré par le Ministère de la jeunesse et des sports. La spécialité « Loisirs tous publics » de ce B.P.J.E.P.S a pour objectif de former des animateurs professionnels capable d’élaborer et de conduire, en partenariat, des projets d’animation, d’animer tous publics à travers, notamment, la découverte et la pratique d’activités scientifiques et techniques, culturelles et d'expression et physiques, de communiquer sur les activités qu’il conduit et de participer au fonctionnement de sa structure, notamment à sa gestion administrative et financière. Il peut en outre exercer les fonctions de Directeur d’Accueil de Loisirs et de Séjour de Vacances pour mineurs, au même titre qu’un titulaire du B.A.F.D.
Cette formation 2010-2011 qui est organisée sur une année à temps plein, du 11 août 2010 au 11 août 2011 en alternance entre Centre de formation, à l’Institut Jacques Bonno de Pirae et stage en Entreprise est coordonnée par madame Mae LHOPITAL, responsable du département formation à l’IJSPF ; elle est entourée d’une équipe pédagogique composée d’une vingtaine de formateurs.
Les 16 stagiaires admis, tous demandeurs d’emploi ont réussi l’épreuve écrite d’admissibilité et l’épreuve d’entretien individuel avec un jury, des épreuves qui ont été mises en œuvre entre le 25 mai et le 2 juin 2010 à Tahiti et aux Marquises. Notons qu’à l’issue de la période d’inscription, du 22 février au 23 avril 2010, l’IJSPF avait réceptionné 73 dossiers de candidatures, dont 27 émanant des Marquises.
Les frais de formation des 16 candidats sont intégralement pris en charge par le Pays : 50% par l’IJSPF et 50% par le Sefi. Tous bénéficient , pendant leur formation d’une allocation mensuelle versée par l’IJSPF, selon un barême fixé par arrêté en conseil des Ministres, allant de 70 000 à 90 000 francs.
Le ministre a félicité les candidats et a souligné : « depuis le mois de février, j’ai parcouru des quartiers, ils sont au nombre de 30, et ce sont les 30 que j’ai retenu pour le programme de cohésion sociale par le sport et les activités de jeunesse d’où la demande de 40 millions à l’APF. » ; de rajouter que « cette formation proposée par l’IJSPF s’inscrit dans ce programme pour l’année prochaine puisqu ‘il faut des cadres. C’est ce qu’il manque dans les quartiers, des cadres au service des associations de jeunesse et de sport. Aujourd’hui, le BPJEPS fait des cadres de l’animation. Donc, quand ils auront fini cette formation, nous les déploierons pour certains, dans les quartiers et ils sont à la recherche d’emploi. Je les ai incités à se regrouper pour être prestataires, pour monter une petite boîte entre eux de prestataires de services spécialisés dans l’animation. »
Les 16 stagiaires admis, tous demandeurs d’emploi ont réussi l’épreuve écrite d’admissibilité et l’épreuve d’entretien individuel avec un jury, des épreuves qui ont été mises en œuvre entre le 25 mai et le 2 juin 2010 à Tahiti et aux Marquises. Notons qu’à l’issue de la période d’inscription, du 22 février au 23 avril 2010, l’IJSPF avait réceptionné 73 dossiers de candidatures, dont 27 émanant des Marquises.
Les frais de formation des 16 candidats sont intégralement pris en charge par le Pays : 50% par l’IJSPF et 50% par le Sefi. Tous bénéficient , pendant leur formation d’une allocation mensuelle versée par l’IJSPF, selon un barême fixé par arrêté en conseil des Ministres, allant de 70 000 à 90 000 francs.
Le ministre a félicité les candidats et a souligné : « depuis le mois de février, j’ai parcouru des quartiers, ils sont au nombre de 30, et ce sont les 30 que j’ai retenu pour le programme de cohésion sociale par le sport et les activités de jeunesse d’où la demande de 40 millions à l’APF. » ; de rajouter que « cette formation proposée par l’IJSPF s’inscrit dans ce programme pour l’année prochaine puisqu ‘il faut des cadres. C’est ce qu’il manque dans les quartiers, des cadres au service des associations de jeunesse et de sport. Aujourd’hui, le BPJEPS fait des cadres de l’animation. Donc, quand ils auront fini cette formation, nous les déploierons pour certains, dans les quartiers et ils sont à la recherche d’emploi. Je les ai incités à se regrouper pour être prestataires, pour monter une petite boîte entre eux de prestataires de services spécialisés dans l’animation. »
Le ministre du travail et de l’emploi, Lana Tetuanui qui a apporté sa contribution à travers le SEFi a fortement soutenu cette initiative. La dernière formation de ce type date de 2005, elle précise : « je suis convaincue au fond de moi-même, à l’issu de cette formation, beaucoup d’entre eux pourront trouver un débouché dans cette catégorie de métier. »
La motivation devra bien sûr, accompagner ces stagiaires afin qu’ils n’ abandonnent pas la formation en cours de route. Mae LHOPITAL, responsable de la formation a d’ailleurs rappelé que : « il ne faut pas qu’ils (les stagiaires) viennent dans cette formation parce qu’ils ne savent pas quoi faire. Il faut qu’ils viennent dans cette formation parce qu’ ils ont envie d’être animateur professionnel. Et là, je pense qu’au travers du tour de table, on a senti qu’il y avait une motivation pour s’occuper des autres. Donc, l’entretien de motivation ça a servi à ça, à leur dire : est-ce que votre projet est cohérent, est-ce que vous avez intérêt à suivre cette formation et est-ce que nous, Pays, jeunesse et sports, on a intérêt à vous prendre en formation. »
Retrouvez le dossier de presse en pièce jointe
La motivation devra bien sûr, accompagner ces stagiaires afin qu’ils n’ abandonnent pas la formation en cours de route. Mae LHOPITAL, responsable de la formation a d’ailleurs rappelé que : « il ne faut pas qu’ils (les stagiaires) viennent dans cette formation parce qu’ils ne savent pas quoi faire. Il faut qu’ils viennent dans cette formation parce qu’ ils ont envie d’être animateur professionnel. Et là, je pense qu’au travers du tour de table, on a senti qu’il y avait une motivation pour s’occuper des autres. Donc, l’entretien de motivation ça a servi à ça, à leur dire : est-ce que votre projet est cohérent, est-ce que vous avez intérêt à suivre cette formation et est-ce que nous, Pays, jeunesse et sports, on a intérêt à vous prendre en formation. »
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