PAPEETE, le 17 août 2016. "L'an dernier, la moitié de l'enveloppe des fonds sociaux a été consommée seulement", regrette Jean-Louis Baglan, le vice-recteur. "Si cette enveloppe n'est pas dépensée elle repartira en métropole", met-il en garde.
Les élèves en manque de moyens financiers peuvent faire appel aux fonds sociaux qui existent dans les collèges et les lycées. "Il ne s'agit pas d'une distribution aveugle d'aides sociales", insistait Nicole Sanquer, dans sa lettre de rentrée, début août.
Ce fonds peut servir à payer le matériel pédagogique, les vêtements, la cantine ou même les lunettes des élèves issus de familles en difficultés financières. Mais ces fonds ne sont pas utilisés, constate-t-on vice-rectorat et au gouvernement. "Les collèges et lycées ont constitué malgré eux des réserves financières ce qui est totalement absurde", regrette Christian Climent-Pons, secrétaire général au vice-rectorat. "Les familles qui sont les plus en difficultés ont du mal à demander de l'aide".
Cette enveloppe, versée par l'Etat au Pays, est de 80 millions de Fcfp. Les familles qui souhaiteraient bénéficier de cette aide doivent en parler au professeur principal, au proviseur ou à l'assistante sociale. "C'est important car si cette enveloppe n'est pas dépensée elle repartira en métropole", met en garde le vice-recteur. "L'an dernier, la moitié a été consommée seulement, ce qui est une tragédie sociale et budgétaire pour la Polynésie française."
Les élèves en manque de moyens financiers peuvent faire appel aux fonds sociaux qui existent dans les collèges et les lycées. "Il ne s'agit pas d'une distribution aveugle d'aides sociales", insistait Nicole Sanquer, dans sa lettre de rentrée, début août.
Ce fonds peut servir à payer le matériel pédagogique, les vêtements, la cantine ou même les lunettes des élèves issus de familles en difficultés financières. Mais ces fonds ne sont pas utilisés, constate-t-on vice-rectorat et au gouvernement. "Les collèges et lycées ont constitué malgré eux des réserves financières ce qui est totalement absurde", regrette Christian Climent-Pons, secrétaire général au vice-rectorat. "Les familles qui sont les plus en difficultés ont du mal à demander de l'aide".
Cette enveloppe, versée par l'Etat au Pays, est de 80 millions de Fcfp. Les familles qui souhaiteraient bénéficier de cette aide doivent en parler au professeur principal, au proviseur ou à l'assistante sociale. "C'est important car si cette enveloppe n'est pas dépensée elle repartira en métropole", met en garde le vice-recteur. "L'an dernier, la moitié a été consommée seulement, ce qui est une tragédie sociale et budgétaire pour la Polynésie française."
