La déconcentration de ces séminaires est un choix volontaire pour être au plus près des utilisateurs. Les agents présents à ce premier séminaire, d’une journée, proviennent de Hiva Oa, de Tahuata et de Fatu Hiva. Ainsi, 8 agents communaux ont été regroupés dans la circonscription administrative de Atuona.
Le vice président a également ouvert ce séminaire en présence de cinq maires des Marquises, ceux de Hiva Oa, de Tahuata, de Fatu Hiva, de Nuku Hiva et de Ua Huka.
Le vice président a indiqué que la loi du pays a été conçue « pour permettre à toute commune de Polynésie française de bénéficier des aides en investissement de manière transparente et équitable ».
Il a ajouté également aux participants : « je voudrais que la loi qui vient d’être adoptée soit un outil au service des projets de toutes vos communes ».
Edouard Fritch a enfin insisté auprès des maires présents sur le fait que la volonté qui a motivé cette loi est « l’accès de tous les maires, sans exception, au dispositif de la délégation pour le développement des communes ». Mais cela suppose que les communes polynésiennes puissent monter et présenter des dossiers de qualité. C’est dans cet esprit que le vice président a engagé ces séminaires de formation qui concerneront tout au long des mois de septembre et d’octobre l’ensemble des 48 communes de Polynésie française.
Le vice président a également ouvert ce séminaire en présence de cinq maires des Marquises, ceux de Hiva Oa, de Tahuata, de Fatu Hiva, de Nuku Hiva et de Ua Huka.
Le vice président a indiqué que la loi du pays a été conçue « pour permettre à toute commune de Polynésie française de bénéficier des aides en investissement de manière transparente et équitable ».
Il a ajouté également aux participants : « je voudrais que la loi qui vient d’être adoptée soit un outil au service des projets de toutes vos communes ».
Edouard Fritch a enfin insisté auprès des maires présents sur le fait que la volonté qui a motivé cette loi est « l’accès de tous les maires, sans exception, au dispositif de la délégation pour le développement des communes ». Mais cela suppose que les communes polynésiennes puissent monter et présenter des dossiers de qualité. C’est dans cet esprit que le vice président a engagé ces séminaires de formation qui concerneront tout au long des mois de septembre et d’octobre l’ensemble des 48 communes de Polynésie française.
