Paris, France | AFP | mercredi 25/10/2023 - "La décision du groupe est de ne pas y participer": Thomas Jolly, maître d'œuvre de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris en 2024, a mis fin mercredi aux rumeurs d'une participation des Daft Punk, nées de ses propos "confus" la veille.
"Mes propos ont été confus et ont généré beaucoup d'attentes", lit-on sur les réseaux sociaux du metteur en scène français, qui avait notamment remis en selle l'opéra-rock "Starmania" l'an dernier.
"Je me dois de clarifier: Après avoir échangé sur une possible présence à la cérémonie, la décision du groupe est de ne pas y participer. Je respecte cette décision et m'excuse de l'ambiguïté de mes propos".
Interrogé mardi sur la radio France Inter sur une éventuelle présence des Daft Punk le 26 juillet lors de cette cérémonie, Thomas Jolly avait lâché: "Ce serait très heureux qu'ils soient dans cette cérémonie", estimant qu'on "ne peut pas ne pas penser" à eux lorsqu'on cherche "une réussite ou une exposition internationale d'un groupe français".
Sollicité en fin d'interview sur "une mauvaise pensée" qu'il aurait pu avoir pendant l'entretien, le metteur en scène avait toutefois concédé: "j'ai un peu menti sur les Daft Punk". Mais la machine à rumeurs s'était déjà emballée sur les réseaux sociaux.
Sauf que l'idée d'un retour du duo casqué, officiellement séparé depuis 2021, ne correspondait pas au mode opératoire des Daft Punk, qui ont toujours évolué dans le plus grand secret.
Personne n'avait vu venir leur concert sur une pyramide géante dévoilée pour la première fois au concert du festival de Coachella en Californie en 2006. Tout comme personne n'avait prévu un album tournant le dos aux machines pour revenir aux instruments avec des participations de Pharrell Williams et Nile Rodgers (guitariste de Chic, producteur de génie pour David Bowie ou Madonna) pour l'album "Random Access Memories" en 2013. Nul non plus n'avait anticipé l'annonce de leur séparation en 2021.
"Mes propos ont été confus et ont généré beaucoup d'attentes", lit-on sur les réseaux sociaux du metteur en scène français, qui avait notamment remis en selle l'opéra-rock "Starmania" l'an dernier.
"Je me dois de clarifier: Après avoir échangé sur une possible présence à la cérémonie, la décision du groupe est de ne pas y participer. Je respecte cette décision et m'excuse de l'ambiguïté de mes propos".
Interrogé mardi sur la radio France Inter sur une éventuelle présence des Daft Punk le 26 juillet lors de cette cérémonie, Thomas Jolly avait lâché: "Ce serait très heureux qu'ils soient dans cette cérémonie", estimant qu'on "ne peut pas ne pas penser" à eux lorsqu'on cherche "une réussite ou une exposition internationale d'un groupe français".
Sollicité en fin d'interview sur "une mauvaise pensée" qu'il aurait pu avoir pendant l'entretien, le metteur en scène avait toutefois concédé: "j'ai un peu menti sur les Daft Punk". Mais la machine à rumeurs s'était déjà emballée sur les réseaux sociaux.
Sauf que l'idée d'un retour du duo casqué, officiellement séparé depuis 2021, ne correspondait pas au mode opératoire des Daft Punk, qui ont toujours évolué dans le plus grand secret.
Personne n'avait vu venir leur concert sur une pyramide géante dévoilée pour la première fois au concert du festival de Coachella en Californie en 2006. Tout comme personne n'avait prévu un album tournant le dos aux machines pour revenir aux instruments avec des participations de Pharrell Williams et Nile Rodgers (guitariste de Chic, producteur de génie pour David Bowie ou Madonna) pour l'album "Random Access Memories" en 2013. Nul non plus n'avait anticipé l'annonce de leur séparation en 2021.