SUVA, jeudi 20 septembre 2012 (Flash d’Océanie) – La capitale fidjienne vit depuis le début de la semaine dans un climat d’insécurité après l’évasion, lundi, de cinq dangereux criminels de la prison de Naboro (banlieue de la capitale), suivie d’une série de crimes et hold-up, dans les jours qui ont suivi.
Depuis lundi, plusieurs commerces, dont une banque (mercredi, en milieu de journée), un restaurant et un hôtel, ont été les cibles d’attaques par des individus armés de sabres d’abattis et de marteaux et pouvant correspondre au signalement des évadés.
Plusieurs maisons ont été cambriolées.
La police nationale a lancé une opération spéciale, avec barrages routiers, ainsi qu’un appel à toute information du public en vue de recapturer les fugitifs.
Elle a aussi rappelé que le fait d’héberger des criminels est passible de lourdes peines pouvant atteindre deux ans de prison.
Parmi les fugitifs, âgés de 25 à 30 ans, la plupart purgeaient des peines allant jusqu’à 26 ans de prison pour des faits de vols à main armée avec violence et, pour l’un d’entre eux, pour meurtre.
La situation a suscité l’émission de conseils de la part de plusieurs missions diplomatiques à Suva, dont notamment celle de l’ONU ou encore l’ambassade de France qui, jeudi, « attire l’attention de ses ressortissants sur ces événements et les invite à accorder une attention particulière au respect des mesures habituelles de sécurité ».
En Papouasie-Nouvelle-Guinée, la police a aussi lancé une opération spéciale afin de retrouver la trace de 17 pensionnaires de la prison de Bihute (près de Goroka, province des Hauts-Plateaux de l’Est), en cavale depuis le 5 septembre 2012.
Ils ont tout simplement sectionné le grillage marquant l’enceinte de l’établissement pénitentiaire.
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Depuis lundi, plusieurs commerces, dont une banque (mercredi, en milieu de journée), un restaurant et un hôtel, ont été les cibles d’attaques par des individus armés de sabres d’abattis et de marteaux et pouvant correspondre au signalement des évadés.
Plusieurs maisons ont été cambriolées.
La police nationale a lancé une opération spéciale, avec barrages routiers, ainsi qu’un appel à toute information du public en vue de recapturer les fugitifs.
Elle a aussi rappelé que le fait d’héberger des criminels est passible de lourdes peines pouvant atteindre deux ans de prison.
Parmi les fugitifs, âgés de 25 à 30 ans, la plupart purgeaient des peines allant jusqu’à 26 ans de prison pour des faits de vols à main armée avec violence et, pour l’un d’entre eux, pour meurtre.
La situation a suscité l’émission de conseils de la part de plusieurs missions diplomatiques à Suva, dont notamment celle de l’ONU ou encore l’ambassade de France qui, jeudi, « attire l’attention de ses ressortissants sur ces événements et les invite à accorder une attention particulière au respect des mesures habituelles de sécurité ».
En Papouasie-Nouvelle-Guinée, la police a aussi lancé une opération spéciale afin de retrouver la trace de 17 pensionnaires de la prison de Bihute (près de Goroka, province des Hauts-Plateaux de l’Est), en cavale depuis le 5 septembre 2012.
Ils ont tout simplement sectionné le grillage marquant l’enceinte de l’établissement pénitentiaire.
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