MOOREA, le 23 juillet 2019 - Le site de Tahiamanu est partiellement fermé depuis ce mardi pour cause de travaux. Des travaux d'aménagement qui prévoient notamment le rechargement en sable de la plage avant la pleine saison de houle du nord.
Mauvaise nouvelle pour les baigneurs. Depuis ce mardi la plage de Tahiamanu située à Moorea est partiellement fermée pour cause de travaux dans le but de lutter contre l'érosion du littoral.
Les travaux devraient durer cinq mois, et s'étendent environ sur 250 m et sur toute la partie sud de ladite plage. Ils concernent la réalisation "d’un ouvrage de rétention immergé en enrochements, permettant de retenir le sable et jouant également le rôle de brise-lames." Et la deuxième partie des travaux concerne le rechargement en sable de Tahiamanu.
La problématique de lutte contre le recul du trait de côte et l’érosion des plages a fait l’objet d’un diagnostic réalisé en août 2016 sur le site de Tahiamanu, l’une des plages les plus fréquentées de l’île, à partir duquel des propositions d’actions ont été formulées.
En effet, la plage de Tahiamanu témoigne d’une régression progressive de la surface de sa plage ces cinquante dernières années. En s’appuyant sur l’analyse des photos aériennes, on estime à 60 % la surface de plage de sable blanc perdue depuis 1955.
Mauvaise nouvelle pour les baigneurs. Depuis ce mardi la plage de Tahiamanu située à Moorea est partiellement fermée pour cause de travaux dans le but de lutter contre l'érosion du littoral.
Les travaux devraient durer cinq mois, et s'étendent environ sur 250 m et sur toute la partie sud de ladite plage. Ils concernent la réalisation "d’un ouvrage de rétention immergé en enrochements, permettant de retenir le sable et jouant également le rôle de brise-lames." Et la deuxième partie des travaux concerne le rechargement en sable de Tahiamanu.
La problématique de lutte contre le recul du trait de côte et l’érosion des plages a fait l’objet d’un diagnostic réalisé en août 2016 sur le site de Tahiamanu, l’une des plages les plus fréquentées de l’île, à partir duquel des propositions d’actions ont été formulées.
En effet, la plage de Tahiamanu témoigne d’une régression progressive de la surface de sa plage ces cinquante dernières années. En s’appuyant sur l’analyse des photos aériennes, on estime à 60 % la surface de plage de sable blanc perdue depuis 1955.