SOFIA, 22 mai 2012 (AFP) - Le slogan "Reste calme et continue de tweeter" diffusé sur le réseau social Twitter a pris toute sa signification pour de nombreux Bulgares longtemps restés sans information officielle après le séisme qui a touché le pays dans la nuit de lundi à mardi.
L'absence de toute information officielle sur les médias traditionnels pendant au moins une heure après le séisme de magnitude 5,8 sur l'échelle de Richter qui a touché la région au sud de Sofia a incité les gens à consulter les blogs et les réseaux sociaux pour s'informer, mais aussi pour se rassurer.
"Une nuit très sociale", résumait un internaute sur Facebook, cité par le journal bulgare Dnevnik, après l'apparition de nombreux statuts et mots-clé ("hashtags") sur les réseaux sociaux faisant référence au tremblement de terre.
Les gens ont généralement partagé leurs expériences et se sont renseignés sur la magnitude du séisme.
"Pour le moment, 110 personnes +aiment+ le tremblement de terre, et 188 utilisateurs le +recommandent+", a commenté un autre utilisateur également cité par Dnevnik.
"On s'attend à des répliques de tweets pendant encore une semaine", a ironisé un utilisateur de Twitter, par analogie avec d'éventuelles répliques sismiques.
ds/tba/sgl/plh
L'absence de toute information officielle sur les médias traditionnels pendant au moins une heure après le séisme de magnitude 5,8 sur l'échelle de Richter qui a touché la région au sud de Sofia a incité les gens à consulter les blogs et les réseaux sociaux pour s'informer, mais aussi pour se rassurer.
"Une nuit très sociale", résumait un internaute sur Facebook, cité par le journal bulgare Dnevnik, après l'apparition de nombreux statuts et mots-clé ("hashtags") sur les réseaux sociaux faisant référence au tremblement de terre.
Les gens ont généralement partagé leurs expériences et se sont renseignés sur la magnitude du séisme.
"Pour le moment, 110 personnes +aiment+ le tremblement de terre, et 188 utilisateurs le +recommandent+", a commenté un autre utilisateur également cité par Dnevnik.
"On s'attend à des répliques de tweets pendant encore une semaine", a ironisé un utilisateur de Twitter, par analogie avec d'éventuelles répliques sismiques.
ds/tba/sgl/plh