L’édition 2012 des Rencontres internationales de Ori Tahiti, se tiendra cette année les 16, 17 et 18 juillet prochains, à partir de 19 h 30 à To’ata.
Après 2004 et 2009, ce Farereira’a 2012 est le troisième grand rassemblement de groupes internationaux de danse tahitienne traditionnelle.
La manifestation est organisée sous l’égide de l’association culturelle Te Maeva, de Coco Hotahota qui fête cette année ses 50 ans de carrière.
Une douzaine de troupes de Ori Tahiti venues du Mexique, des Etats Unis et du Japon se présentent à l'occasion de cet événement.
Près d’un demi-millier de personnes ont fait le déplacement pour participer à ce rendez-vous culturel à l’honneur de la danse traditionnelle tahitienne.
>> Lire aussi Le programme
Après 2004 et 2009, ce Farereira’a 2012 est le troisième grand rassemblement de groupes internationaux de danse tahitienne traditionnelle.
La manifestation est organisée sous l’égide de l’association culturelle Te Maeva, de Coco Hotahota qui fête cette année ses 50 ans de carrière.
Une douzaine de troupes de Ori Tahiti venues du Mexique, des Etats Unis et du Japon se présentent à l'occasion de cet événement.
Près d’un demi-millier de personnes ont fait le déplacement pour participer à ce rendez-vous culturel à l’honneur de la danse traditionnelle tahitienne.
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Coco Hotahota : « à Tahiti, parce que c’est le berceau de cet art »
Tahiti infos : Vous organisez cette rencontre depuis 2004, qu’est-ce qui vous a motivé à organiser, en Polynésie, un tel événement sur le thème de la danse traditionnelle à l’adresse des amateurs étrangers ?
Coco Hotahota : Il y a plusieurs idées à l’origine de l’organisation de cette manifestation. (…) J’ai eu l’idée il y a une dizaine d’année, alors que j’étais aux Etats Unis, j’ai proposé au groupe que je visitais alors de venir ici, à Tahiti, parce que c’est le berceau de cet art. Ce n’est pas à Los Angeles ou à Tokyo ; c’est ici, devant notre public. Cela les a interpellé et c’est comme cela qu’est né le premier Farereira’a, en 2004.
Ce qui me fait plaisir cette année, c’est qu’il y a de nouveaux groupes qui viennent. Cette année, nous avons notamment un groupe de Ori Tahiti qui vient du Mexique et deux groupe japonais. On a failli avoir une troupe de Finlande, mais le déplacement était trop cher. Ils ont décidé de reporter leur venue à la prochaine édition, dans 3 ans.
Tahiti infos : Pourquoi organiser cet événement tous les trois ans uniquement ?
Coco Hotahota : Parce que la charge qui incombe aux participant est très importante : ils payent leur voyage, leur hôtel, leur nourriture… tout. Nous essayons de prendre en charge les frais de transport et cette année nous avons de la chance de bénéficier de l’aide de la commune de Punaauia. Le transport est un casse-tête à chaque édition.
Tahiti infos : Vous organisez cette rencontre depuis 2004, qu’est-ce qui vous a motivé à organiser, en Polynésie, un tel événement sur le thème de la danse traditionnelle à l’adresse des amateurs étrangers ?
Coco Hotahota : Il y a plusieurs idées à l’origine de l’organisation de cette manifestation. (…) J’ai eu l’idée il y a une dizaine d’année, alors que j’étais aux Etats Unis, j’ai proposé au groupe que je visitais alors de venir ici, à Tahiti, parce que c’est le berceau de cet art. Ce n’est pas à Los Angeles ou à Tokyo ; c’est ici, devant notre public. Cela les a interpellé et c’est comme cela qu’est né le premier Farereira’a, en 2004.
Ce qui me fait plaisir cette année, c’est qu’il y a de nouveaux groupes qui viennent. Cette année, nous avons notamment un groupe de Ori Tahiti qui vient du Mexique et deux groupe japonais. On a failli avoir une troupe de Finlande, mais le déplacement était trop cher. Ils ont décidé de reporter leur venue à la prochaine édition, dans 3 ans.
Tahiti infos : Pourquoi organiser cet événement tous les trois ans uniquement ?
Coco Hotahota : Parce que la charge qui incombe aux participant est très importante : ils payent leur voyage, leur hôtel, leur nourriture… tout. Nous essayons de prendre en charge les frais de transport et cette année nous avons de la chance de bénéficier de l’aide de la commune de Punaauia. Le transport est un casse-tête à chaque édition.
