WASHINGTON, 15 novembre 2011 (AFP) - Le site communautaire sur internet Facebook a indiqué mardi qu'il avait été victime d'une "attaque coordonnée de pourriels exploitant une vulnérabilité de serveurs", après que des internautes eurent signalé la multiplication de messages à caractère pornographique ou violent.
"Nos efforts ont drastiquement limité les dommages infligés par cette attaque, et nous sommes maintenant en train d'enquêter pour identifier les responsables", a précisé Facebook dans un communiqué.
De nombreux internautes s'étaient plaints sur le site de microblogs Twitter d'une invasion d'images dérangeantes.
Graham Cluley, de la société de sécurité informatique Sophos, avait expliqué, sur le blog de sa société, que certaines images signalées comportaient "des images pornographiques" et "des images d'une extrême violence".
"Il semble que des pourriels très choquants se soient répandus via Facebook depuis 24 heures ou plus", avait ajouté M. Cluley, sans donner d'indication sur le mode de propagation de ces images.
Facebook a expliqué de son côté que, "durant cette attaque, les internautes ont été incités à faire du copié-collé et à exécuter des programmes malveillants en javascript dans la barre URL de leur navigateur, ce qui les a conduits à diffuser à leur insu ces contenus choquants".
"Nos ingénieurs ont travaillé diligemment" pour remédier à ce point faible, a précisé l'entreprise californienne, "nous avons construit des mécanismes pour rapidement fermer les pages malveillantes et les comptes essayant d'exploiter" la faille.
Facebook a ajouté que les titulaires des comptes touchés avaient reçu des instructions pour se protéger, et que des mesures avaient été prises pour "réduire l'incidence de ces attaques".
Facebook est le plus grand réseau social sur internet au monde, avec plus de 800 millions d'utilisateurs dans le monde.
cl-chr/ved/rap
"Nos efforts ont drastiquement limité les dommages infligés par cette attaque, et nous sommes maintenant en train d'enquêter pour identifier les responsables", a précisé Facebook dans un communiqué.
De nombreux internautes s'étaient plaints sur le site de microblogs Twitter d'une invasion d'images dérangeantes.
Graham Cluley, de la société de sécurité informatique Sophos, avait expliqué, sur le blog de sa société, que certaines images signalées comportaient "des images pornographiques" et "des images d'une extrême violence".
"Il semble que des pourriels très choquants se soient répandus via Facebook depuis 24 heures ou plus", avait ajouté M. Cluley, sans donner d'indication sur le mode de propagation de ces images.
Facebook a expliqué de son côté que, "durant cette attaque, les internautes ont été incités à faire du copié-collé et à exécuter des programmes malveillants en javascript dans la barre URL de leur navigateur, ce qui les a conduits à diffuser à leur insu ces contenus choquants".
"Nos ingénieurs ont travaillé diligemment" pour remédier à ce point faible, a précisé l'entreprise californienne, "nous avons construit des mécanismes pour rapidement fermer les pages malveillantes et les comptes essayant d'exploiter" la faille.
Facebook a ajouté que les titulaires des comptes touchés avaient reçu des instructions pour se protéger, et que des mesures avaient été prises pour "réduire l'incidence de ces attaques".
Facebook est le plus grand réseau social sur internet au monde, avec plus de 800 millions d'utilisateurs dans le monde.
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