SAN FRANCISCO, 31 août 2012 (AFP) - Facebook a annoncé vendredi qu'il allait faire la chasse aux mentions "J'aime" suspectes, qui ne viennent pas de personnes réellement intéressées pour soutenir des pages sur le réseau social.
"Nous avons amélioré les efforts de nos serveurs pour retirer les mentions +J'aime+ qui auraient été gagnées par des moyens violant notre politique de service", a indiqué l'équipe chargée de la sécurité chez Facebook sur son blog.
"Ces efforts visent à retirer les +J'aime+ gagnés par le biais de faux comptes ou de tromperies", ajoutent les ingénieurs de Facebook qui font aussi référence à des achats en gros de mentions "J'aime".
Le réseau social permet depuis longtemps à ses utilisateurs de soutenir des pages en cliquant sur un onglet "J'aime". Un grand nombre de "J'aime" permet de voir combien de fans une page rassemble, notamment pour les pages de marques commerciales.
"Cette amélioration permettra aux pages de produire des contenus plus pertinents et intéressants, et les marques auront une meilleure idée du soutien qu'elles rassemblent autour de leurs contenus", a encore précisé l'équipe de sécurité de Facebook.
Le réseau social, basé en Californie, espère réduire à moins de 1% la part des mentions "J'aime" suspectes grâce à ses efforts en la matière.
gc/bdx/mdm
"Nous avons amélioré les efforts de nos serveurs pour retirer les mentions +J'aime+ qui auraient été gagnées par des moyens violant notre politique de service", a indiqué l'équipe chargée de la sécurité chez Facebook sur son blog.
"Ces efforts visent à retirer les +J'aime+ gagnés par le biais de faux comptes ou de tromperies", ajoutent les ingénieurs de Facebook qui font aussi référence à des achats en gros de mentions "J'aime".
Le réseau social permet depuis longtemps à ses utilisateurs de soutenir des pages en cliquant sur un onglet "J'aime". Un grand nombre de "J'aime" permet de voir combien de fans une page rassemble, notamment pour les pages de marques commerciales.
"Cette amélioration permettra aux pages de produire des contenus plus pertinents et intéressants, et les marques auront une meilleure idée du soutien qu'elles rassemblent autour de leurs contenus", a encore précisé l'équipe de sécurité de Facebook.
Le réseau social, basé en Californie, espère réduire à moins de 1% la part des mentions "J'aime" suspectes grâce à ses efforts en la matière.
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