Paris, France | AFP | jeudi 02/03/2017 - Facebook propose à partir de jeudi soir à ses utilisateurs français de signaler les fausses informations circulant sur le réseau, en cliquant sur le coin droit d’une publication douteuse, a indiqué le réseau social.
Les informations signalées seront vérifiées par des médias (BFMTV, L’Express, France Médias Monde, France Télévisions, Libération, Le Monde, 20 Minutes et l'AFP), explique Facebook dans un communiqué. Lorsqu’une publication est qualifiée de "fausse information" par deux des organisations de fact-checking, elle est identifiée comme étant "contestée" et marquée d'un triangle rouge.
Si un utilisateur partage une des publications contestées, il voit s'afficher le message suivant: "Avant de partager ce contenu, sachez que des organismes vérificateurs tiers ont contesté sa véracité". La visibilité de ces publications pourra être réduite dans les fils d’actualité des utilisateurs.
Le réseau social américain tente également de limiter "les gains financiers des auteurs de fausses informations", en réduisant leur propagation: une information labellisée "contestée" ne pourra pas être convertie en publicité ni faire l’objet d’un post sponsorisé.
Cette initiative a également été activée jeudi par Facebook aux Pays-Bas, après avoir été lancée aux Etats-Unis et en Allemagne.
Facebook, Google, le réseau international de médias First Draft et une alliance de 37 médias français et internationaux ont lancé mardi "CrossCheck", une plateforme collaborative de fact-checking destinée à débusquer les fausses informations qui pourraient perturber la présidentielle d'avril-mai.
Pour repérer les rumeurs qui montent, les participants s'aident des signalements par les internautes sur le site CrossCheck, du logiciel GoogleTrends, qui recense les recherches les plus fréquentes sur Google, ainsi que de la veille réalisée par une douzaine d'étudiants en journalisme.
Les informations signalées seront vérifiées par des médias (BFMTV, L’Express, France Médias Monde, France Télévisions, Libération, Le Monde, 20 Minutes et l'AFP), explique Facebook dans un communiqué. Lorsqu’une publication est qualifiée de "fausse information" par deux des organisations de fact-checking, elle est identifiée comme étant "contestée" et marquée d'un triangle rouge.
Si un utilisateur partage une des publications contestées, il voit s'afficher le message suivant: "Avant de partager ce contenu, sachez que des organismes vérificateurs tiers ont contesté sa véracité". La visibilité de ces publications pourra être réduite dans les fils d’actualité des utilisateurs.
Le réseau social américain tente également de limiter "les gains financiers des auteurs de fausses informations", en réduisant leur propagation: une information labellisée "contestée" ne pourra pas être convertie en publicité ni faire l’objet d’un post sponsorisé.
Cette initiative a également été activée jeudi par Facebook aux Pays-Bas, après avoir été lancée aux Etats-Unis et en Allemagne.
Facebook, Google, le réseau international de médias First Draft et une alliance de 37 médias français et internationaux ont lancé mardi "CrossCheck", une plateforme collaborative de fact-checking destinée à débusquer les fausses informations qui pourraient perturber la présidentielle d'avril-mai.
Pour repérer les rumeurs qui montent, les participants s'aident des signalements par les internautes sur le site CrossCheck, du logiciel GoogleTrends, qui recense les recherches les plus fréquentes sur Google, ainsi que de la veille réalisée par une douzaine d'étudiants en journalisme.