Ce vendredi matin, le maire de Fa’a’a (et président du pays) Oscar Temaru a officiellement inauguré le centre solidaire de la commune regroupeant en un seul lieu une épicerie sociale gérée par la Croix Rouge et une « vestiboutique » qui sera tenue par l’association « Hotuarea ».
Une ancienne bâtisse communale qui servait de relais postal, située à l’entrée des lotissements sociaux de Pu’ura’i, a été choisie et entièrement restructurée pour la cause. Le réaménagement, qui a démarré en novembre dernier, a pu se concrétiser grâce à la participation d’élèves du Lycée Professionnel de Fa’a’a et du service bâtiments de la commune. Et début janvier, des locaux tout neufs faisaient leur apparition.
Deux entités bien distinctes mais complémentaires ont investi les lieux. La première est la Croix Rouge, présidée par Alexandre Cormier. Cette association gère la boutique sociale, tandis que l’association « Hotuarea nui » dirigée par Yannick Tevaiarai, occupe le second local où se trouve la « vestiboutique » qui réceptionne les apports volontaires de vêtements. Un appel est lancé à toutes les bonnes volontés qui accepteraient de faire don de linges. 4 bornes à textiles sont implantés au centre administratif de la mairie de Fa’a’a, à la station TOTAL située en face de l’église Saint Joseph, à la station TOTAL de Heiri et bien-sûr sur les lieux-mêmes du nouveau centre solidaire. Ils sont reconnaissables à leur couleur « bleue ».
Avec le maire, c’est aussi la 6ème adjointe, Emma Vanaa en charge du dossier social à la mairie, qui voit le fruit de tous ses efforts conjugués (Commune-Croix Rouge et Association « Hotuarea Nui »). Elle avait suivi le projet de mise en place, et aujourd’hui, deux ans plus tard, son rêve se réalise. Une aide précieuse pour les familles pauvres de Fa’a’a qui afflueront dans les jours qui viennent. A noter que l’épicerie sera accessible uniquement sur la base de critères bien précis tels que la composition du foyer et le calcul de la moyenne économique journalière. De plus, ne seront reçus que les familles qui auront été orientées ici par les services sociaux. « Le public visé est la population à faible revenu qui vit en dessous du seuil de pauvreté c’est-à-dire avec à peine 51 470 Fcp par mois. » explique le dossier de presse communal.
TP
Une ancienne bâtisse communale qui servait de relais postal, située à l’entrée des lotissements sociaux de Pu’ura’i, a été choisie et entièrement restructurée pour la cause. Le réaménagement, qui a démarré en novembre dernier, a pu se concrétiser grâce à la participation d’élèves du Lycée Professionnel de Fa’a’a et du service bâtiments de la commune. Et début janvier, des locaux tout neufs faisaient leur apparition.
Deux entités bien distinctes mais complémentaires ont investi les lieux. La première est la Croix Rouge, présidée par Alexandre Cormier. Cette association gère la boutique sociale, tandis que l’association « Hotuarea nui » dirigée par Yannick Tevaiarai, occupe le second local où se trouve la « vestiboutique » qui réceptionne les apports volontaires de vêtements. Un appel est lancé à toutes les bonnes volontés qui accepteraient de faire don de linges. 4 bornes à textiles sont implantés au centre administratif de la mairie de Fa’a’a, à la station TOTAL située en face de l’église Saint Joseph, à la station TOTAL de Heiri et bien-sûr sur les lieux-mêmes du nouveau centre solidaire. Ils sont reconnaissables à leur couleur « bleue ».
Avec le maire, c’est aussi la 6ème adjointe, Emma Vanaa en charge du dossier social à la mairie, qui voit le fruit de tous ses efforts conjugués (Commune-Croix Rouge et Association « Hotuarea Nui »). Elle avait suivi le projet de mise en place, et aujourd’hui, deux ans plus tard, son rêve se réalise. Une aide précieuse pour les familles pauvres de Fa’a’a qui afflueront dans les jours qui viennent. A noter que l’épicerie sera accessible uniquement sur la base de critères bien précis tels que la composition du foyer et le calcul de la moyenne économique journalière. De plus, ne seront reçus que les familles qui auront été orientées ici par les services sociaux. « Le public visé est la population à faible revenu qui vit en dessous du seuil de pauvreté c’est-à-dire avec à peine 51 470 Fcp par mois. » explique le dossier de presse communal.
TP
