PAPEETE, le 3 mars 2017. Estelle Anania a été élue ce vendredi "la plus belle femme tatouée de France".
Elles étaient 13 participantes à l'élection "Ink Girl – France" créée en 2016.
Quelques jours avant de partir, nous avions rencontré Estelle. Lire son portrait ici.
Estelle Anania a le corps tatoué à plus de 90%. Les dessins témoignent tous de moments forts, de rencontres, d'émotions, de réussites et de valeurs, ils sont de différents styles. "Il y a du polynésien moderne, du patutiki, le tatouage traditionnel marquisien et du japonais. Cela me distingue des autres et peut être un atout pour l'élection", glisse-t-elle au passage.
Elle a laissé entrer la première aiguille dans son corps à l'âge de 18 ans. "Sur le pied, c'était un lézard. C'est protecteur un lézard." Née en France d'un père paumotu, il est originaire d'Anaa, et d'une mère suisse, Estelle Anania a grandi en cultivant ses deux cultures. "On venait en Polynésie, le plus souvent à Fakarava, tous les ans. Je vivais en Europe mais je savais que je finirais un jour dans le Pacifique."
Elles étaient 13 participantes à l'élection "Ink Girl – France" créée en 2016.
Quelques jours avant de partir, nous avions rencontré Estelle. Lire son portrait ici.
Estelle Anania a le corps tatoué à plus de 90%. Les dessins témoignent tous de moments forts, de rencontres, d'émotions, de réussites et de valeurs, ils sont de différents styles. "Il y a du polynésien moderne, du patutiki, le tatouage traditionnel marquisien et du japonais. Cela me distingue des autres et peut être un atout pour l'élection", glisse-t-elle au passage.
Elle a laissé entrer la première aiguille dans son corps à l'âge de 18 ans. "Sur le pied, c'était un lézard. C'est protecteur un lézard." Née en France d'un père paumotu, il est originaire d'Anaa, et d'une mère suisse, Estelle Anania a grandi en cultivant ses deux cultures. "On venait en Polynésie, le plus souvent à Fakarava, tous les ans. Je vivais en Europe mais je savais que je finirais un jour dans le Pacifique."
Photo : Damien Dufour