WELLINGTON, mercredi 21 novembre 2012 (Flash d’Océanie) – Alors que depuis la semaine dernière, toute l’attention des organismes de surveillance était portée sur le volcan du Mont Ruapehu, sur l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande, c’est mercredi le volcan voisin de Tongariro qui s’est réveillé sans crier gare.
Depuis plusieurs jours, le cône du Mont Ruapehu monopolisait l’attention des scientifiques, qui avaient estimé ce week-end que ce volcan était entré dans une phase active.
Mais mercredi, aux alentours de 13h20 (locales, GMT+13), c’est le Mont Tongariro, dont le point culminant approche les 2.300 mètres d’altitude, qui est entré en violente éruption, projetant un épais panache dans l’atmosphère, jusqu’à des hauteurs de trois kilomètres.
Cette première éruption a duré environ cinq minutes.
Aucun dégât majeur ni blessé n’a été immédiatement signalé, mais des abris de montagne et des chemins de randonnée ont été ensevelis, selon les premiers constats.
Par précaution, plusieurs compagnies aériennes opérant dans cette région hautement touristique ont décidé de suspendre leurs vols en attendant une stabilisation de la situation, et principalement en raison du risque posé (pour les moteurs) par les particules de cendres en suspension dans l’atmosphère.
Les scientifiques de l’institut national GNS Science et les services de la protection civile déclarent surveiller de très près l’évolution de la situation.
Le niveau d’alerte volcanique a été rehaussé à 2.
Pour l’aviation civile, c’est le code rouge qui a été enclenché.
Depuis l’éruption de la mi-journée, les autorités de la sécurité civile conseillent aux populations vivant à proximité de la montagne de rester chez elles, en particulier pour les personnes prédisposées (personnes âgées, asthmatiques ou enfants en bas âge).
Pour ceux qui ne pourraient éviter une sortie, il est alors fortement conseiller de porter un masque filtrant ou, à défait, un mouchoir ou un morceau de tissu pour se protéger la bouche.
Il est aussi conseillé de porter des lunettes de protection, voire des masques de plongées ou des lunettes de natation, pour protéger les yeux des fines particules de cendres libérées dans l’atmosphère.
Selon les premières estimations des scientifiques, cette phase éruptive du Mont Tongariro pourrait durer jusqu’à la mi-décembre 2012.
Le Mont Tongariro n’avait pas connu une telle activité depuis la fin du dix-neuvième siècle.
Une première alerte avait néanmoins eu lieu plus récemment, le 6 août 2012, à la mi-journée
Depuis plusieurs jours, le cône du Mont Ruapehu monopolisait l’attention des scientifiques, qui avaient estimé ce week-end que ce volcan était entré dans une phase active.
Mais mercredi, aux alentours de 13h20 (locales, GMT+13), c’est le Mont Tongariro, dont le point culminant approche les 2.300 mètres d’altitude, qui est entré en violente éruption, projetant un épais panache dans l’atmosphère, jusqu’à des hauteurs de trois kilomètres.
Cette première éruption a duré environ cinq minutes.
Aucun dégât majeur ni blessé n’a été immédiatement signalé, mais des abris de montagne et des chemins de randonnée ont été ensevelis, selon les premiers constats.
Par précaution, plusieurs compagnies aériennes opérant dans cette région hautement touristique ont décidé de suspendre leurs vols en attendant une stabilisation de la situation, et principalement en raison du risque posé (pour les moteurs) par les particules de cendres en suspension dans l’atmosphère.
Les scientifiques de l’institut national GNS Science et les services de la protection civile déclarent surveiller de très près l’évolution de la situation.
Le niveau d’alerte volcanique a été rehaussé à 2.
Pour l’aviation civile, c’est le code rouge qui a été enclenché.
Depuis l’éruption de la mi-journée, les autorités de la sécurité civile conseillent aux populations vivant à proximité de la montagne de rester chez elles, en particulier pour les personnes prédisposées (personnes âgées, asthmatiques ou enfants en bas âge).
Pour ceux qui ne pourraient éviter une sortie, il est alors fortement conseiller de porter un masque filtrant ou, à défait, un mouchoir ou un morceau de tissu pour se protéger la bouche.
Il est aussi conseillé de porter des lunettes de protection, voire des masques de plongées ou des lunettes de natation, pour protéger les yeux des fines particules de cendres libérées dans l’atmosphère.
Selon les premières estimations des scientifiques, cette phase éruptive du Mont Tongariro pourrait durer jusqu’à la mi-décembre 2012.
Le Mont Tongariro n’avait pas connu une telle activité depuis la fin du dix-neuvième siècle.
Une première alerte avait néanmoins eu lieu plus récemment, le 6 août 2012, à la mi-journée
