BUENOS AIRES, 6 janvier 2014 (AFP) - Des cakes commercialisés dans les enseignes Carrefour d'Argentine avec la mention "cocaïne: 12 grammes" dans la liste des ingrédients figurant sur l'étiquette ont déclenché une avalanche de réactions ironiques sur les réseaux sociaux.
Le groupe français, qui compte plus de 500 magasins en Argentine, s'est excusé auprès des usagers, déplorant "une plaisanterie de mauvais goût" de la part d'un employé d'un fournisseur de la chaîne.
"Depuis Carrefour Argentine nous souhaitons tranquilliser nos clients en leur assurant qu'il n'y a aucun composant étrange dans les cakes de marque Carrefour", écrit dans un communiqué l'entreprise de la grande distribution, qui a aussitôt retiré de ses magasins les produits portant les étiquettes incriminées.
"Pablo Escobar, depuis le ciel, doit penser: +pourquoi n'y ai-je pas pensé avant", ironise sur Facebook Gustavo Ramirez.
Sur le plateau de la chaîne d'information en continu C5N, le présentateur a consacré un quart d'heure à l'information, montrant les cakes à la caméra. "J'avais déjà vu des spacecakes avec de la marijuana, mais pas encore des cakes à la cocaïne", a-t-il dit.
"Pour Carrefour, la cocaïne est légalisée", se réjouit Liliana sur twitter.
"Si tu as acheté un cake affichant 12 g de cocaïne, et s'il n'y en a pas, Carrefour devrait t'indemniser pour vente frauduleuse", écrit pour sa part Daniel Litovsky sur le même réseau social.
Pendant ce temps, d'autres internautes s'inquiètent du sort de l'employé auteur de la farce, redoutant qu'il soit congédié.
Le groupe français, qui compte plus de 500 magasins en Argentine, s'est excusé auprès des usagers, déplorant "une plaisanterie de mauvais goût" de la part d'un employé d'un fournisseur de la chaîne.
"Depuis Carrefour Argentine nous souhaitons tranquilliser nos clients en leur assurant qu'il n'y a aucun composant étrange dans les cakes de marque Carrefour", écrit dans un communiqué l'entreprise de la grande distribution, qui a aussitôt retiré de ses magasins les produits portant les étiquettes incriminées.
"Pablo Escobar, depuis le ciel, doit penser: +pourquoi n'y ai-je pas pensé avant", ironise sur Facebook Gustavo Ramirez.
Sur le plateau de la chaîne d'information en continu C5N, le présentateur a consacré un quart d'heure à l'information, montrant les cakes à la caméra. "J'avais déjà vu des spacecakes avec de la marijuana, mais pas encore des cakes à la cocaïne", a-t-il dit.
"Pour Carrefour, la cocaïne est légalisée", se réjouit Liliana sur twitter.
"Si tu as acheté un cake affichant 12 g de cocaïne, et s'il n'y en a pas, Carrefour devrait t'indemniser pour vente frauduleuse", écrit pour sa part Daniel Litovsky sur le même réseau social.
Pendant ce temps, d'autres internautes s'inquiètent du sort de l'employé auteur de la farce, redoutant qu'il soit congédié.