Murray McCully
WELLINGTON, mardi 10 mars 2015 (Flash d’Océanie) – Murray McCully, ministre néo-zélandais des affaires étrangères, doit rencontrer cette semaine son homologue français Laurent Fabius, lors d’un déplacement à Paris au cours duquel il devrait être question de faire le point sur les relations entre ces deux pays.
« La France et la Nouvelle-Zélande ont une relation excellente et ancienne. En fait, cette année 2015 marque le 70ème anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre nos deux pays », a précisé M. McCully avant son départ pour Paris.
Au menu des discussions : les questions de sécurité mondiale, la Nouvelle-Zélande occupant actuellement un siège de membre non-permanent au sein du Conseil de Sécurité de l’ONU.
« Mes discussions avec le ministre Fabius vont aussi se concentrer sur des domaines dans lesquels nous pouvons travailler de manière constructive avec la France et l’ONU », a-t-il précisé.
Après son passage à Paris, M. McCully doit se rendre à Londres, pour y participer à une réunion du groupe d’action ministérielle du Commonwealth (CMAG).
Une ambassadrice à Wellington
Début mars 2015, la nouvelle ambassadrice de France en Nouvelle-Zélande, Florence Jeanblanc-Risler, récemment nommée par le gouvernement français, a officiellement pris ses fonctions en présentant, comme le veut le protocole, ses lettres de créances au Gouverneur Général de ce pays du Commonwealth.
Ayant récemment occupé des postes à caractère économique, dont le dernier en date était basé à Tokyo, cette diplomate a débuté sa carrière au milieu des années 1980, au ministère des transports, avant que d’occuper des fonctions au sein d’ambassades et représentations aux États-Unis et au Canada.
Elle remplace Laurent Contini, qui, selon les termes du décret du 9 janvier 2015 publié au Journal Officiel de la République française du 11 janvier 2015, est « appelé à d'autres fonctions ».
M. Contini, dont les affectations, depuis le milieu des années 2000, avaient surtout été africaines (Rwanda), avait été nommé ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République française en Nouvelle-Zélande par décret du 7 août 2013
Ce poste comporte, outre la Nouvelle-Zélande comme pays de résidence, d’autres zones régionales de compétences diplomatiques de représentation, sur une base non-résidente, comme les îles Cook, Niue et Samoa.
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« La France et la Nouvelle-Zélande ont une relation excellente et ancienne. En fait, cette année 2015 marque le 70ème anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre nos deux pays », a précisé M. McCully avant son départ pour Paris.
Au menu des discussions : les questions de sécurité mondiale, la Nouvelle-Zélande occupant actuellement un siège de membre non-permanent au sein du Conseil de Sécurité de l’ONU.
« Mes discussions avec le ministre Fabius vont aussi se concentrer sur des domaines dans lesquels nous pouvons travailler de manière constructive avec la France et l’ONU », a-t-il précisé.
Après son passage à Paris, M. McCully doit se rendre à Londres, pour y participer à une réunion du groupe d’action ministérielle du Commonwealth (CMAG).
Une ambassadrice à Wellington
Début mars 2015, la nouvelle ambassadrice de France en Nouvelle-Zélande, Florence Jeanblanc-Risler, récemment nommée par le gouvernement français, a officiellement pris ses fonctions en présentant, comme le veut le protocole, ses lettres de créances au Gouverneur Général de ce pays du Commonwealth.
Ayant récemment occupé des postes à caractère économique, dont le dernier en date était basé à Tokyo, cette diplomate a débuté sa carrière au milieu des années 1980, au ministère des transports, avant que d’occuper des fonctions au sein d’ambassades et représentations aux États-Unis et au Canada.
Elle remplace Laurent Contini, qui, selon les termes du décret du 9 janvier 2015 publié au Journal Officiel de la République française du 11 janvier 2015, est « appelé à d'autres fonctions ».
M. Contini, dont les affectations, depuis le milieu des années 2000, avaient surtout été africaines (Rwanda), avait été nommé ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République française en Nouvelle-Zélande par décret du 7 août 2013
Ce poste comporte, outre la Nouvelle-Zélande comme pays de résidence, d’autres zones régionales de compétences diplomatiques de représentation, sur une base non-résidente, comme les îles Cook, Niue et Samoa.
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