LYON, 11 janvier 2012 (AFP) - Cent consommateurs ayant relevé mercredi le défi de se présenter en sous-vêtements à Lyon devant une grande enseigne espagnole de vêtements ont pu repartir après s'être rhabillés à l'oeil, grâce à cette opération de communication inédite en France, au premier jour des soldes.
Certains n'avaient pas hésité à passer la nuit devant le magasin Desigual, situé rue de la République, principale artère commerçante du centre-ville, afin d'être parmi les cent élus à recevoir un ticket les autorisant à revêtir gratuitement un haut et un bas de leur choix.
Dans la foule, jeune, qui s'est précipitée dans la bonne humeur dans le magasin dès l'ouverture, entourés de nombreux journalistes, quelques uns avaient pudiquement revêtu chapka et lunettes de ski ou masque blanc.
"Une amie m'a envoyé un mail, je me suis dit pourquoi pas", explique une jeune blonde, qui vient de s'équiper d'un jean et d'un manteau, qui était "sans soldes à 450 euros". Un homme, jeune lui aussi, témoigne, torse nu, de son arrivée sur place dès "une heure du matin". "Et c'était déjà largement rempli, il y avait déjà bien cent personnes", dit-il.
Alors que dans les grandes enseignes voisines, la fréquentation semblait en berne, la marque Desigual semble avoir réussi son opération de communication. Dans la presse locale, la marque avait diffusé des pages de publicité depuis plusieurs jours disant "Entrez en sous-vêtements, sortez habillé!", invitant à suivre le happening sur les réseaux sociaux.
La marque a déjà mené des opérations similaires en Espagne, mais aussi à Londres ou New York, après une première édition espagnole en nu intégral.
"L'opération a un peu évolué. Il y a quelques années à Barcelone, les gens venaient nus. Dans les pays du Sud, on est peut-être plus enclins à se déshabiller", explique Michel Payet, chargé de communication de Desigual.
Il a évoqué la présence renforcée de vigiles pour éviter tout débordement, mais "cela reste un évènement ludique et plutôt bon enfant. Il n'y a aucun voyeurisme là-dedans, ça s'est toujours bien passé".
bur-dth/cfe/er
Certains n'avaient pas hésité à passer la nuit devant le magasin Desigual, situé rue de la République, principale artère commerçante du centre-ville, afin d'être parmi les cent élus à recevoir un ticket les autorisant à revêtir gratuitement un haut et un bas de leur choix.
Dans la foule, jeune, qui s'est précipitée dans la bonne humeur dans le magasin dès l'ouverture, entourés de nombreux journalistes, quelques uns avaient pudiquement revêtu chapka et lunettes de ski ou masque blanc.
"Une amie m'a envoyé un mail, je me suis dit pourquoi pas", explique une jeune blonde, qui vient de s'équiper d'un jean et d'un manteau, qui était "sans soldes à 450 euros". Un homme, jeune lui aussi, témoigne, torse nu, de son arrivée sur place dès "une heure du matin". "Et c'était déjà largement rempli, il y avait déjà bien cent personnes", dit-il.
Alors que dans les grandes enseignes voisines, la fréquentation semblait en berne, la marque Desigual semble avoir réussi son opération de communication. Dans la presse locale, la marque avait diffusé des pages de publicité depuis plusieurs jours disant "Entrez en sous-vêtements, sortez habillé!", invitant à suivre le happening sur les réseaux sociaux.
La marque a déjà mené des opérations similaires en Espagne, mais aussi à Londres ou New York, après une première édition espagnole en nu intégral.
"L'opération a un peu évolué. Il y a quelques années à Barcelone, les gens venaient nus. Dans les pays du Sud, on est peut-être plus enclins à se déshabiller", explique Michel Payet, chargé de communication de Desigual.
Il a évoqué la présence renforcée de vigiles pour éviter tout débordement, mais "cela reste un évènement ludique et plutôt bon enfant. Il n'y a aucun voyeurisme là-dedans, ça s'est toujours bien passé".
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