Elle avait notamment créé une page sur Facebook et utilisé le réseau de socialisation pour réunir des groupes de soutien qui lui ont remis de l'argent en espèces, sans jamais demander ni obtenir de reçu.
Plusieurs médias canadiens consacraient lundi beaucoup de place à l'affaire d'Ashley Kirilow, 23 ans, et les télévisions affichaient ses photos, un foulard blanc couvrant son crâne rasé.
Elle s'est présentée vendredi dernier à la police en Ontario, qui enquêtait sur elle depuis plus d'un mois, pour être incarcérée sous l'inculpation de fraude de moins de cinq mille dollars canadiens (4.850 USD). Mais des amis qu'elle avait trouvés grâce à son subterfuge estiment ses gains à environ 20.000 dollars.
Selon un communiqué de la police, elle a conduit depuis plusieurs mois des collectes de fonds, notamment lors de concerts, dont certains organisés pour elle, avec l'aide de plusieurs personnes qu'elle est parvenue à convaincre qu'elle avait un cancer et n'avait plus que quelques semaines à vivre.
Sur Facebook, elle a prétendu rassembler de l'argent pour une organisation sans existence légale baptisée "Change for a Cure".
La jeune femme se disait orpheline et prétendait que ses parents étaient toxicomanes. En fait, ils sont divorcés et remariés et elle avait essayé sans succès de les convaincre qu'elle avait un cancer.
Une audience sur son éventuelle remise en liberté sous caution a été fixée à mercredi. Entre-temps, une vague de messages indignés voire fortement injurieux a déferlé sur sa page Facebook.
Plusieurs médias canadiens consacraient lundi beaucoup de place à l'affaire d'Ashley Kirilow, 23 ans, et les télévisions affichaient ses photos, un foulard blanc couvrant son crâne rasé.
Elle s'est présentée vendredi dernier à la police en Ontario, qui enquêtait sur elle depuis plus d'un mois, pour être incarcérée sous l'inculpation de fraude de moins de cinq mille dollars canadiens (4.850 USD). Mais des amis qu'elle avait trouvés grâce à son subterfuge estiment ses gains à environ 20.000 dollars.
Selon un communiqué de la police, elle a conduit depuis plusieurs mois des collectes de fonds, notamment lors de concerts, dont certains organisés pour elle, avec l'aide de plusieurs personnes qu'elle est parvenue à convaincre qu'elle avait un cancer et n'avait plus que quelques semaines à vivre.
Sur Facebook, elle a prétendu rassembler de l'argent pour une organisation sans existence légale baptisée "Change for a Cure".
La jeune femme se disait orpheline et prétendait que ses parents étaient toxicomanes. En fait, ils sont divorcés et remariés et elle avait essayé sans succès de les convaincre qu'elle avait un cancer.
Une audience sur son éventuelle remise en liberté sous caution a été fixée à mercredi. Entre-temps, une vague de messages indignés voire fortement injurieux a déferlé sur sa page Facebook.