Quentin Bryce et Sir Anand Satyanand, tous deux représentants officiels de la Reine d’Angleterre dans leurs pays, en tant que membres du Commonwealth, avaient pourtant décollé et s’étaient rapprochés de la Pologne, jusqu’à finalement se heurter à l’interdiction de vol frappant l’espace aérien européen, en raison du nuage de cendres émis par le volcan Eyjafjallajokull en Islande.
Le Président polonais Lech Kaczynski, son épouse et 94 autres passagers du Tupolev présidentiel, dont les plus hauts commandants des armées, ont tous péri, le 10 avril, lorsque cet avion s’est écrasé non loin de la ville de Smolensk (Russie).
Les deux gouvernements, en annonçant l’annulation de cet engagement funéraire (tout comme le Président américain Barack Obama, son homologue français Nicolas Sarkozy ou la chancelière allemande Angela Merkel, entre autres), ont aussi exprimé leurs regrets, d’abord au regard des autorités polonises, mais aussi des importantes communautés d’origine polonaise établies depuis plusieurs générations dans ces pays du Pacifique.
Dans le cas de l’Australie, cette communauté est estimée à pas moins de 160.000 citoyens d’origine polonaise.
Mme Bryce a toutefois choisi de ne pas reprendre immédiatement le chemin du retour vers son pays : elle compte, depuis son escale aux Émirats Arabes Unis, honorer un certains nombre d’engagements, notamment de rencontrer la communauté australienne dans cette région, avant que de tenter de refaire route vers le Nord, cette fois-ci en direction de la Turquie, où se dérouleront la semaine prochaine les cérémonies de l’ANZAC.
Ces cérémonies, chaque année, marquent l’hommage aux victimes mortes au combat, pendant les deux premières guerres mondiales et qui appartenaient au corps expéditionnaire australien et néo-zélandais servant sous le drapeau britannique.
Le Gouverneur Général néo-zélandais avait choisi de passer par Los Angeles, pour rejoindre ensuite Londres, selon le plan initial.
Il avait ensuite rejoint New York pour tenter une nouvelle fois une envolée vers le continent européen.
Sans succès, il a finalement rebroussé chemin et était attendu à Wellington lundi.
Des milliers de ressortissants de ces deux pays, par ailleurs, ont eux aussi été contraints de prendre leur mal en patience, dans des aéroports européens où les vols ont été jusqu’ici annulés.
Cette interdiction de vol a aussi eu des répercussions sur les vols long courrier entre l’Australie, la Nouvelle-Zélande et l’Europe, soit par des lignes empruntant l’Asie (Corée, Japon, Hong Kong) ou d’autre l’Amérique du Nord (principalement Los Angeles), en tant qu’escales.
Les principales compagnies aériennes de la zone exploitants des dessertes à destination de l’Europe, que ce soit Qantas, Air New Zealand, Air Pacific (Fidji), Korean Air, Cathay
Pacific ou, chez les françaises, Air Calédonie International, Air France ou Air Tahiti Nui, recommandent toutes de se renseigner sur leurs sites respectifs ou par téléphone avant de poursuivre dans leurs projets de voyages.
Le Président polonais Lech Kaczynski, son épouse et 94 autres passagers du Tupolev présidentiel, dont les plus hauts commandants des armées, ont tous péri, le 10 avril, lorsque cet avion s’est écrasé non loin de la ville de Smolensk (Russie).
Les deux gouvernements, en annonçant l’annulation de cet engagement funéraire (tout comme le Président américain Barack Obama, son homologue français Nicolas Sarkozy ou la chancelière allemande Angela Merkel, entre autres), ont aussi exprimé leurs regrets, d’abord au regard des autorités polonises, mais aussi des importantes communautés d’origine polonaise établies depuis plusieurs générations dans ces pays du Pacifique.
Dans le cas de l’Australie, cette communauté est estimée à pas moins de 160.000 citoyens d’origine polonaise.
Mme Bryce a toutefois choisi de ne pas reprendre immédiatement le chemin du retour vers son pays : elle compte, depuis son escale aux Émirats Arabes Unis, honorer un certains nombre d’engagements, notamment de rencontrer la communauté australienne dans cette région, avant que de tenter de refaire route vers le Nord, cette fois-ci en direction de la Turquie, où se dérouleront la semaine prochaine les cérémonies de l’ANZAC.
Ces cérémonies, chaque année, marquent l’hommage aux victimes mortes au combat, pendant les deux premières guerres mondiales et qui appartenaient au corps expéditionnaire australien et néo-zélandais servant sous le drapeau britannique.
Le Gouverneur Général néo-zélandais avait choisi de passer par Los Angeles, pour rejoindre ensuite Londres, selon le plan initial.
Il avait ensuite rejoint New York pour tenter une nouvelle fois une envolée vers le continent européen.
Sans succès, il a finalement rebroussé chemin et était attendu à Wellington lundi.
Des milliers de ressortissants de ces deux pays, par ailleurs, ont eux aussi été contraints de prendre leur mal en patience, dans des aéroports européens où les vols ont été jusqu’ici annulés.
Cette interdiction de vol a aussi eu des répercussions sur les vols long courrier entre l’Australie, la Nouvelle-Zélande et l’Europe, soit par des lignes empruntant l’Asie (Corée, Japon, Hong Kong) ou d’autre l’Amérique du Nord (principalement Los Angeles), en tant qu’escales.
Les principales compagnies aériennes de la zone exploitants des dessertes à destination de l’Europe, que ce soit Qantas, Air New Zealand, Air Pacific (Fidji), Korean Air, Cathay
Pacific ou, chez les françaises, Air Calédonie International, Air France ou Air Tahiti Nui, recommandent toutes de se renseigner sur leurs sites respectifs ou par téléphone avant de poursuivre dans leurs projets de voyages.