Le Ministre de l’Education, Tauhiti NENA et le Directeur du Centre international d’études pédagogiques(CIEP), François PERRET, ont signé jeudi matin à Paris la convention fixant les conditions de partenariat entre la Polynésie française et le CIEP en matière de reconnaissance des titres et des diplômes étrangers.
Cette convention porte sur la mise à disposition de la Polynésie française de l’expertise du centre ENIC-NARIC, pour l’instruction et le traitement des dossiers de demandes de reconnaissance de diplômes et de titres étrangers. Le CIEP, qui a une mission nationale, évalue le diplôme étranger obtenu par rapport au système français et délivre une attestation de comparabilité si ce dernier peut être comparé avec un niveau de formation de nomenclature française.
« L’intention est de permettre à des étudiants polynésiens qui ont fait leurs études à l’étranger de voir leurs diplômes étrangers reconnus dans le cadre français, de manière à faciliter leur insertion dans le marché de l’emploi français par exemple ou leur insertion dans des universités françaises pour des poursuites d’études. » a indiqué le directeur du CIEP.
M Tauhiti NENA a exprimé sa satisfaction d’avoir signer cette convention.
« C’était une attente de la Polynésie française. Depuis ces cinq dernières années, c’est plus d’une centaine d’étudiants qui partent faire leurs études à l’étranger ; Canada, Nouvelle-Zélande, Australie et depuis peu la Chine. Il était donc important de mettre en place une étude de comparabilité des diplômes » a précisé M NENA.
Le recensement des étudiants hors Polynésie
Par ailleurs, le ministre a évoqué deux points auxquels il attache une importance particulière : le suivi de ces jeunes partis étudier à l’extérieur et l’orientation de certains d’entre eux qui se retrouvent en situation d’échec qu’il conviendrait d’accompagner.
« Nous n’avons pas de lisibilité et de visibilité à court, moyen et long terme sur le nombre de jeunes qui partent étudier à l’extérieur de la Polynésie française. Cela fait maintenant six mois que nous essayons de mettre en place un observatoire pour arriver d’une part à recenser, tous nos étudiants et cadres hors de Polynésie, et d’autre part à informer ces derniers des possibilités d’emploi en Polynésie » a développé Tauhiti NENA.
Cette convention porte sur la mise à disposition de la Polynésie française de l’expertise du centre ENIC-NARIC, pour l’instruction et le traitement des dossiers de demandes de reconnaissance de diplômes et de titres étrangers. Le CIEP, qui a une mission nationale, évalue le diplôme étranger obtenu par rapport au système français et délivre une attestation de comparabilité si ce dernier peut être comparé avec un niveau de formation de nomenclature française.
« L’intention est de permettre à des étudiants polynésiens qui ont fait leurs études à l’étranger de voir leurs diplômes étrangers reconnus dans le cadre français, de manière à faciliter leur insertion dans le marché de l’emploi français par exemple ou leur insertion dans des universités françaises pour des poursuites d’études. » a indiqué le directeur du CIEP.
M Tauhiti NENA a exprimé sa satisfaction d’avoir signer cette convention.
« C’était une attente de la Polynésie française. Depuis ces cinq dernières années, c’est plus d’une centaine d’étudiants qui partent faire leurs études à l’étranger ; Canada, Nouvelle-Zélande, Australie et depuis peu la Chine. Il était donc important de mettre en place une étude de comparabilité des diplômes » a précisé M NENA.
Le recensement des étudiants hors Polynésie
Par ailleurs, le ministre a évoqué deux points auxquels il attache une importance particulière : le suivi de ces jeunes partis étudier à l’extérieur et l’orientation de certains d’entre eux qui se retrouvent en situation d’échec qu’il conviendrait d’accompagner.
« Nous n’avons pas de lisibilité et de visibilité à court, moyen et long terme sur le nombre de jeunes qui partent étudier à l’extérieur de la Polynésie française. Cela fait maintenant six mois que nous essayons de mettre en place un observatoire pour arriver d’une part à recenser, tous nos étudiants et cadres hors de Polynésie, et d’autre part à informer ces derniers des possibilités d’emploi en Polynésie » a développé Tauhiti NENA.
