Edouard Fritch, député et président de l’Assemblée de la Polynésie, accompagné du député Jean-Paul Tuaiva, a été reçu lundi en fin d’après-midi par Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale.
Cette rencontre s’inscrivait essentiellement dans le cadre de la convention de coopération entre l’Assemblée nationale et l’Assemblée de la Polynésie française signée sous la précédente mandature. « Ce que je souhaite aujourd’hui, c’est qu’on mette cette convention en pratique » a déclaré Edouard Fritch tandis que Claude Bartolone a estimé qu’il « n’y a aucune raison qu’elle s’arrête ».
Le président de l’Assemblée de la Polynésie a par ailleurs souhaité bénéficier de l’expertise de l’Assemblée nationale dans le contexte du large renouvellement des élus à Tahiti. « Notre personnel administratif est compétent mais a sans doute besoin de voir ailleurs comment cela se passe. Mais c’est aussi au niveau des élus, et en particulier des présidents de commissions, qu’il nous faut travailler ».
Le président de l’Assemblée nationale partage le même souci et est tout à fait prêt à accueillir des personnels administratifs comme les élus polynésiens : « on vous fera des propositions de formation et de contacts ».
Mais les deux présidents ont également convenu que les administrateurs de l’Assemblée nationale pouvaient être sensibilisés aux spécialités législatives pour ce qui concerne les compétences dévolues à la Polynésie française.
Par ailleurs, Edouard Fritch a souhaité adresser directement au président de l’Assemblée nationale les avis de l’Assemblée de la Polynésie lorsqu’elle est consultée sur des textes nationaux afin que les députés soient parfaitement informés et sensibilisés sur les préoccupations des élus polynésiens lors de leur travail législatif.
Enfin, Edouard Fritch a plaidé pour que le président de l’Assemblée nationale puisse visiter l’ensemble des assemblées des collectivités françaises du Pacifique pour une meilleure appréhension des particularités locales.
Cette rencontre s’inscrivait essentiellement dans le cadre de la convention de coopération entre l’Assemblée nationale et l’Assemblée de la Polynésie française signée sous la précédente mandature. « Ce que je souhaite aujourd’hui, c’est qu’on mette cette convention en pratique » a déclaré Edouard Fritch tandis que Claude Bartolone a estimé qu’il « n’y a aucune raison qu’elle s’arrête ».
Le président de l’Assemblée de la Polynésie a par ailleurs souhaité bénéficier de l’expertise de l’Assemblée nationale dans le contexte du large renouvellement des élus à Tahiti. « Notre personnel administratif est compétent mais a sans doute besoin de voir ailleurs comment cela se passe. Mais c’est aussi au niveau des élus, et en particulier des présidents de commissions, qu’il nous faut travailler ».
Le président de l’Assemblée nationale partage le même souci et est tout à fait prêt à accueillir des personnels administratifs comme les élus polynésiens : « on vous fera des propositions de formation et de contacts ».
Mais les deux présidents ont également convenu que les administrateurs de l’Assemblée nationale pouvaient être sensibilisés aux spécialités législatives pour ce qui concerne les compétences dévolues à la Polynésie française.
Par ailleurs, Edouard Fritch a souhaité adresser directement au président de l’Assemblée nationale les avis de l’Assemblée de la Polynésie lorsqu’elle est consultée sur des textes nationaux afin que les députés soient parfaitement informés et sensibilisés sur les préoccupations des élus polynésiens lors de leur travail législatif.
Enfin, Edouard Fritch a plaidé pour que le président de l’Assemblée nationale puisse visiter l’ensemble des assemblées des collectivités françaises du Pacifique pour une meilleure appréhension des particularités locales.
