Cette rencontre entre le vice-président, dûment mandaté par le Pays pour cette vente, et ces deux assistants néo-zélandais choisis par le pays avait pour but de :
- faire le point sur les acheteurs potentiels qui se sont manifestés
- discuter du montant adéquat de la mise a prix
- de faire le point sur les règles et procédures liées a la conclusion d'une vente
- d'évoquer les scenarii en cas d'échec de la vente
Le droit immobilier anglo-saxon est particulier et la Polynésie française se doit de s'attacher des conseils juridiques appropriés.
Comme l'a déjà dit le vice-président, l'objectif est bien d'obtenir un prix de vente le plus haut et en aucun cas de brader cet ensemble immobilier situé a Auckland.
Une trentaine de visites
C'est dans cet esprit que le cabinet Colliers International, appointé par le pays, a mis en place depuis le mois de juin une large communication sur la commercialisation du bien par une campagne de publicité dans le New-Zealand Herald, par l'envoi de e-mails à des investisseurs, par une publication dans le catalogue de Colliers et sur des panneaux d'affichage posés à l'entrée du site. Toutes les mesures d'annonces et de publicité ont été effectuées dans les règles et d’une manière professionnelle. A la suite de cette campagne, Colliers a répondu à une trentaine de visites et de contacts.
Une vente justifiée
Le vice-président entend réaffirmer aux Polynésiens que cette vente est totalement justifiée, le bien immobilier n’étant d aucune utilité pour le pays. Le Rockland hostel est une propriété qui n'est aucunement fonctionnelle et de ce fait n'a jamais été d'aucun intérêt pour les Polynésiens séjournant en Nouvelle-Zélande. De plus, l'exploitation de la partie hôtelière proprement dite est déficitaire, en raison des charges importantes occasionnées par la vétusté des bâtiments.
Ainsi, à l'instar de l'avis sans équivoque de la directrice des affaires foncières, le maintien du Rocklands hostel dans le patrimoine de la Polynésie française serait à l'évidence devenu une charge financière pour le pays. Il n'y a donc aucun regret quant à cette décision.
Par ailleurs, la vente du Rocklands hostel est cohérente avec les préconisations du rapport Bolliet.
- faire le point sur les acheteurs potentiels qui se sont manifestés
- discuter du montant adéquat de la mise a prix
- de faire le point sur les règles et procédures liées a la conclusion d'une vente
- d'évoquer les scenarii en cas d'échec de la vente
Le droit immobilier anglo-saxon est particulier et la Polynésie française se doit de s'attacher des conseils juridiques appropriés.
Comme l'a déjà dit le vice-président, l'objectif est bien d'obtenir un prix de vente le plus haut et en aucun cas de brader cet ensemble immobilier situé a Auckland.
Une trentaine de visites
C'est dans cet esprit que le cabinet Colliers International, appointé par le pays, a mis en place depuis le mois de juin une large communication sur la commercialisation du bien par une campagne de publicité dans le New-Zealand Herald, par l'envoi de e-mails à des investisseurs, par une publication dans le catalogue de Colliers et sur des panneaux d'affichage posés à l'entrée du site. Toutes les mesures d'annonces et de publicité ont été effectuées dans les règles et d’une manière professionnelle. A la suite de cette campagne, Colliers a répondu à une trentaine de visites et de contacts.
Une vente justifiée
Le vice-président entend réaffirmer aux Polynésiens que cette vente est totalement justifiée, le bien immobilier n’étant d aucune utilité pour le pays. Le Rockland hostel est une propriété qui n'est aucunement fonctionnelle et de ce fait n'a jamais été d'aucun intérêt pour les Polynésiens séjournant en Nouvelle-Zélande. De plus, l'exploitation de la partie hôtelière proprement dite est déficitaire, en raison des charges importantes occasionnées par la vétusté des bâtiments.
Ainsi, à l'instar de l'avis sans équivoque de la directrice des affaires foncières, le maintien du Rocklands hostel dans le patrimoine de la Polynésie française serait à l'évidence devenu une charge financière pour le pays. Il n'y a donc aucun regret quant à cette décision.
Par ailleurs, la vente du Rocklands hostel est cohérente avec les préconisations du rapport Bolliet.