En revanche pour un bon nombre de chefs d’entreprises cette période est
exactement le contraire de la vacuité. Elle constitue en effet un moment propice aux
initiatives et aux projets de toutes sortes, à l’opportunité de pouvoir enfin aborder
les tâches repoussées aux calendes grecques. Une période où il est en principe possible
de pouvoir prendre du recul et de s’accorder du temps à la réflexion.
Et de la réflexion, il en y aura eu beaucoup durant cette première moitié de
la période estivale qui s’achève à peine, en raison d’une actualité économique et
sociale particulièrement dense. En effet, hasard du calendrier ou signe tangible
d’une volonté du gouvernement de faire avancer ou d’accélérer les grands dossiers
du moment, les appels à la réflexion ont été nombreux.
Beaucoup de réunions se sont tenues sur des thématiques très diverses
mais toutes aussi cruciales les unes que les autres pour l’avenir à court et moyen
terme de la Polynésie française : création du Comité d’actions pour le redressement
économique (CARE) suivie de ses premières réunions de travail, réunions des
commissions thématiques du Conseil d’orientation stratégique du tourisme (COST),
Observatoire du BTP, Observatoire du DARSE, réunions de travail dans le cadre de
l’élaboration des textes d’application de la loi du pays relative à la santé au travail,
consultations des membres du CESC et réunions sur la réforme de la Protection
sociale généralisée (PSG), examen du projet de loi du pays relatif aux modalités
d’évaluation des avantages en nature, poursuite des réflexions des Etats généraux
du numérique, …
Des réunions où la présence du CEPF était non seulement officiellement
incontournable du fait des mandats patronaux qui lui sont dévolus mais également
hautement souhaitée, tant sa force de proposition lui confère un rôle d’interlocuteur
privilégié auprès des pouvoirs publics.
Cette qualité qui lui est reconnue, le CEPF la doit avant tout à son engagement
actif et permanent au profit de ses quinze organisations membres, à sa capacité
à mobiliser la réflexion et la concertation de leurs adhérents. Ainsi et même
durant cette période estivale, des chefs d’entreprises n’ont pas manqué de répondre
présents aux rendez-vous adressés au CEPF ou à participer à des réflexions au sein
de groupes de travail internes.
En conclusion, le présent éditorial est l’occasion pour les membres du
bureau du CEPF et pour son Président de remercier les chefs d’entreprises mais également
les cadres de leurs entreprises souvent mobilisés en dehors des heures de
travail dans les nombreux ateliers techniques où leurs compétences et leur expérience
sont très appréciées.
Luc TAPETA-SERVONNAT
Président
Année 2010 - Numéro 664 Date de parution : 29 juillet 2010 - ISSN 0295-5512
Edito :
exactement le contraire de la vacuité. Elle constitue en effet un moment propice aux
initiatives et aux projets de toutes sortes, à l’opportunité de pouvoir enfin aborder
les tâches repoussées aux calendes grecques. Une période où il est en principe possible
de pouvoir prendre du recul et de s’accorder du temps à la réflexion.
Et de la réflexion, il en y aura eu beaucoup durant cette première moitié de
la période estivale qui s’achève à peine, en raison d’une actualité économique et
sociale particulièrement dense. En effet, hasard du calendrier ou signe tangible
d’une volonté du gouvernement de faire avancer ou d’accélérer les grands dossiers
du moment, les appels à la réflexion ont été nombreux.
Beaucoup de réunions se sont tenues sur des thématiques très diverses
mais toutes aussi cruciales les unes que les autres pour l’avenir à court et moyen
terme de la Polynésie française : création du Comité d’actions pour le redressement
économique (CARE) suivie de ses premières réunions de travail, réunions des
commissions thématiques du Conseil d’orientation stratégique du tourisme (COST),
Observatoire du BTP, Observatoire du DARSE, réunions de travail dans le cadre de
l’élaboration des textes d’application de la loi du pays relative à la santé au travail,
consultations des membres du CESC et réunions sur la réforme de la Protection
sociale généralisée (PSG), examen du projet de loi du pays relatif aux modalités
d’évaluation des avantages en nature, poursuite des réflexions des Etats généraux
du numérique, …
Des réunions où la présence du CEPF était non seulement officiellement
incontournable du fait des mandats patronaux qui lui sont dévolus mais également
hautement souhaitée, tant sa force de proposition lui confère un rôle d’interlocuteur
privilégié auprès des pouvoirs publics.
Cette qualité qui lui est reconnue, le CEPF la doit avant tout à son engagement
actif et permanent au profit de ses quinze organisations membres, à sa capacité
à mobiliser la réflexion et la concertation de leurs adhérents. Ainsi et même
durant cette période estivale, des chefs d’entreprises n’ont pas manqué de répondre
présents aux rendez-vous adressés au CEPF ou à participer à des réflexions au sein
de groupes de travail internes.
En conclusion, le présent éditorial est l’occasion pour les membres du
bureau du CEPF et pour son Président de remercier les chefs d’entreprises mais également
les cadres de leurs entreprises souvent mobilisés en dehors des heures de
travail dans les nombreux ateliers techniques où leurs compétences et leur expérience
sont très appréciées.
Luc TAPETA-SERVONNAT
Président
Année 2010 - Numéro 664 Date de parution : 29 juillet 2010 - ISSN 0295-5512
Edito :