Le vice-président, Edouard Fritch, était l’invité des journaux télé de Polynésie première dimanche soir.
Appelé à commenter en premier lieu les déclarations critiques du président de la République sur la Polynésie, le vice-président a estimé que «ce n’était peut-être pas le lieu au moment où l’on adresse ses vœux à l’outre-mer».
Edouard Fritch, sans éluder la responsabilité des élus locaux, a par ailleurs souligné que «l’Etat a sa part de responsabilité» dans «la pagaille» en raison de la réforme portée par Christian Estrosi qui n’a pas apporté la stabilité annoncée.
«La modification électorale a abouti à un échec. Nous commençons une troisième réforme de cette loi électorale et force est de constater que l’Etat ne joue pas le jeu puisque nos propositions n’ont pas été retenues », a t-il notamment déclaré.
Commentant la situation politique locale, Edouard Fritch a souligné que le président Tong Sang avait «la clé du problème». Le Tahoeraa et le To Tatou Ai’a ne pouvant à eux seuls faire une majorité, il convient de se rapprocher du groupe de Jean-Christophe Bouissou.
Pour le vice-président, le président du groupe Ia Ora Te Fenua est prêt à participer à une majorité, mais il demande à changer de président du Pays. «Ce que je souhaite, c’est que les autonomistes se regroupent».
Enfin, Edouard Fritch a justifié sa présence ainsi que celle des ministres Tahoeraa au gouvernement alors que le parti n’est plus dans la majorité : «On nous a demandé de rester après le mois d’avril. Nous ne sommes pas là pour servir un homme – le président du gouvernement – mais pour servir le Pays».
Appelé à commenter en premier lieu les déclarations critiques du président de la République sur la Polynésie, le vice-président a estimé que «ce n’était peut-être pas le lieu au moment où l’on adresse ses vœux à l’outre-mer».
Edouard Fritch, sans éluder la responsabilité des élus locaux, a par ailleurs souligné que «l’Etat a sa part de responsabilité» dans «la pagaille» en raison de la réforme portée par Christian Estrosi qui n’a pas apporté la stabilité annoncée.
«La modification électorale a abouti à un échec. Nous commençons une troisième réforme de cette loi électorale et force est de constater que l’Etat ne joue pas le jeu puisque nos propositions n’ont pas été retenues », a t-il notamment déclaré.
Commentant la situation politique locale, Edouard Fritch a souligné que le président Tong Sang avait «la clé du problème». Le Tahoeraa et le To Tatou Ai’a ne pouvant à eux seuls faire une majorité, il convient de se rapprocher du groupe de Jean-Christophe Bouissou.
Pour le vice-président, le président du groupe Ia Ora Te Fenua est prêt à participer à une majorité, mais il demande à changer de président du Pays. «Ce que je souhaite, c’est que les autonomistes se regroupent».
Enfin, Edouard Fritch a justifié sa présence ainsi que celle des ministres Tahoeraa au gouvernement alors que le parti n’est plus dans la majorité : «On nous a demandé de rester après le mois d’avril. Nous ne sommes pas là pour servir un homme – le président du gouvernement – mais pour servir le Pays».
