Washington, Etats-Unis | AFP | dimanche 26/03/2017 - Donald Trump a blâmé dimanche l'aile dure de son parti républicain après l'échec cuisant du plan de réforme de la santé au Congrès.
"Les démocrates sourient" de voir que le "Freedom Caucus", nom désignant les parlementaires ultra-conservateurs proches du Tea Party, a bloqué l'adoption de la réforme, a tweeté le président américain.
Le résultat de cette opposition est que le Freedom Caucus "a sauvé" Planned Parenthood, l'organisation américaine de planning familial qui est sa bête noire, a ironisé M. Trump dans son message.
Donald Trump associe à cette critique deux autres groupes très conservateurs, le "Club for Growth", un groupe de pression anti-impôts et la Fondation Heritage, un puissant groupe de réflexion conservateur de Washington.
Le président américain est affaibli par le retrait vendredi au dernier moment du projet complexe de réforme du système de santé, faute d'un soutien suffisant à la fois chez les modérés et dans l'aile dure républicaine.
Interrogé sur la chaîne de télévision ABC, le chef du Freedom Caucus, Mark Meadows, s'est gardé de polémiquer avec le président, affirmant que la bataille n'était pas forcément finie sur le système actuel d'assurance santé, surnommé "Obamacare".
"Ce n'est pas encore la fin du match", a déclaré Mark Meadows.
"Nous sommes déterminés à travailler avec le président" et le chef de la majorité républicaine à la Chambre des représentants, Paul Ryan, "pour être sûrs que nous obtenions un certain consensus", a-t-il dit. Son groupe rassemble une grosse trentaine d'élus à la Chambre, sur 237 républicains.
En prenant acte de son échec à réformer Obamacare, Donald Trump a promis de consacrer désormais ses efforts à une profonde réforme fiscale - où le Freedom Caucus, avec ses parlementaires farouchement opposés à la dépense publique, risque là encore de lui causer quelques maux de tête.
Mais Mark Meadows a semblé se montré conciliant, suggérant qu'une baisse des impôts n'avait pas forcément besoin d'être parfaitement compensée par une baisse des dépenses publiques.
"Est-ce qu'il y a besoin d'avoir une totale compensation? Ma réponse personnelle est +non+", a déclaré Mark Meadows.
"Les démocrates sourient" de voir que le "Freedom Caucus", nom désignant les parlementaires ultra-conservateurs proches du Tea Party, a bloqué l'adoption de la réforme, a tweeté le président américain.
Le résultat de cette opposition est que le Freedom Caucus "a sauvé" Planned Parenthood, l'organisation américaine de planning familial qui est sa bête noire, a ironisé M. Trump dans son message.
Donald Trump associe à cette critique deux autres groupes très conservateurs, le "Club for Growth", un groupe de pression anti-impôts et la Fondation Heritage, un puissant groupe de réflexion conservateur de Washington.
Le président américain est affaibli par le retrait vendredi au dernier moment du projet complexe de réforme du système de santé, faute d'un soutien suffisant à la fois chez les modérés et dans l'aile dure républicaine.
Interrogé sur la chaîne de télévision ABC, le chef du Freedom Caucus, Mark Meadows, s'est gardé de polémiquer avec le président, affirmant que la bataille n'était pas forcément finie sur le système actuel d'assurance santé, surnommé "Obamacare".
"Ce n'est pas encore la fin du match", a déclaré Mark Meadows.
"Nous sommes déterminés à travailler avec le président" et le chef de la majorité républicaine à la Chambre des représentants, Paul Ryan, "pour être sûrs que nous obtenions un certain consensus", a-t-il dit. Son groupe rassemble une grosse trentaine d'élus à la Chambre, sur 237 républicains.
En prenant acte de son échec à réformer Obamacare, Donald Trump a promis de consacrer désormais ses efforts à une profonde réforme fiscale - où le Freedom Caucus, avec ses parlementaires farouchement opposés à la dépense publique, risque là encore de lui causer quelques maux de tête.
Mais Mark Meadows a semblé se montré conciliant, suggérant qu'une baisse des impôts n'avait pas forcément besoin d'être parfaitement compensée par une baisse des dépenses publiques.
"Est-ce qu'il y a besoin d'avoir une totale compensation? Ma réponse personnelle est +non+", a déclaré Mark Meadows.