Après la disparition des deux enfants et de leur père sur fond de séparation conflictuelle avec leur fille, mère des enfants, une enquête a été ouverte pour "soustraction d'enfants mineurs et assassinats", a indiqué à l'AFP Me Thierry Fillion, avocat rennais des grands parents.
Début juin, alors qu'une procédure de garde alternée avait été décidée par la justice, Dominique Petit quittait la marina Taina à bord du voilier familial en compagnie de Gaëlle et Arthur, laissant à terre une enveloppe avec un mot d'adieu destinée à Vanessa, la mère, qui n'a pas revu ses enfants depuis le 9 mai.
L'enquête en cours n'a pas encore révélé si le voilier, le "Honu", avait été victime d'un accident volontaire ou non, ou bien d'une mise en scène par le père pour prendre la fuite avec ses enfants, a indiqué Me Fillion.
Des témoins auraient vu une embarcation du même type faire naufrage, sans pour autant qu'aucune trace matérielle permettant d'identifier le voilier n'ait été retrouvée à l'exception du canot de sauvetage. Le naufrage aurait eu lieu par des fonds de 2.500 mètres.
"Des sondages doivent être réalisés pour déterminer s'il s'agit du Honu. On ne peut rester toute notre vie dans l'incertitude", explique le grand-père pour qui "il n'y a pas de preuve que le bateau a coulé".
Dominique, 50 ans, ancien prothésiste dans l'Eure, et Vanessa, 33 ans, bretonne et ancienne étudiante en pharmacie, s'étaient rencontrés en 2004 autour d'une passion commune, la voile, qui les conduira à arpenter les mers du globe. En 2007, ils s'installent dans la capitale polynésienne. En avril 2010, elle abandonne le bateau à son compagnon et s'installe seule à Papeete.
frg/mcl/ei
Début juin, alors qu'une procédure de garde alternée avait été décidée par la justice, Dominique Petit quittait la marina Taina à bord du voilier familial en compagnie de Gaëlle et Arthur, laissant à terre une enveloppe avec un mot d'adieu destinée à Vanessa, la mère, qui n'a pas revu ses enfants depuis le 9 mai.
L'enquête en cours n'a pas encore révélé si le voilier, le "Honu", avait été victime d'un accident volontaire ou non, ou bien d'une mise en scène par le père pour prendre la fuite avec ses enfants, a indiqué Me Fillion.
Des témoins auraient vu une embarcation du même type faire naufrage, sans pour autant qu'aucune trace matérielle permettant d'identifier le voilier n'ait été retrouvée à l'exception du canot de sauvetage. Le naufrage aurait eu lieu par des fonds de 2.500 mètres.
"Des sondages doivent être réalisés pour déterminer s'il s'agit du Honu. On ne peut rester toute notre vie dans l'incertitude", explique le grand-père pour qui "il n'y a pas de preuve que le bateau a coulé".
Dominique, 50 ans, ancien prothésiste dans l'Eure, et Vanessa, 33 ans, bretonne et ancienne étudiante en pharmacie, s'étaient rencontrés en 2004 autour d'une passion commune, la voile, qui les conduira à arpenter les mers du globe. En 2007, ils s'installent dans la capitale polynésienne. En avril 2010, elle abandonne le bateau à son compagnon et s'installe seule à Papeete.
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