Au cours de ces cinq dernières années, cette société basé dans la Caraïbe et créée par un entrepreneur irlandais a enchaîné les ouvertures de marchés à Fidji, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, à Vanuatu, à Samoa, à Tonga et à Nauru, avec actuellement des projets de lancement en Polynésie française.
Le siège régional pour le Pacifique demeure néanmoins à Fidji, a confirmé Niamh Byrne, directeur commercial de Digicel Fiji.
Sur ses marchés existants, toutefois, la politique de poursuite de l’implantation du réseau s’est heurtée ces dernières semaines à des oppositions, notamment à Vanuatu et à Fidji.
Sur l’île de Pentecôte (Nord-est de Vanuatu), les chefs coutumiers locaux viennent d’obtenir que la société démonte la tour qu’elle avait érigé sur un site qu’ils considèrent comme historique et culturel, à Langare.
La société a été priée de réinstaller son matériel à un autre endroit.
Dans la capitale fidjienne Suva, mi-août 2010, dans le cadre d’une autre affaire d’implantation de tour-relais dans une zone résidentielle et près d’un parc, un tribunal a débouté Digicel en appel et a maintenu l’ordre de démonter cette tour de vingt cinq mètres de haut, érigée en 2008 et de payer les frais de procédure de l’ordre de deux mille cinq cent euros.
À Fidji, où la société est en guerre commerciale ouverte avec le concurrent historique, Vodafone, la guerre des tarifs se poursuit : début août 2010, Digicel annonçait le lancement de nouvelles offres permettant de bénéficier de tarifs réduits et forfaitaires (10 centimes de dollar fidjien, soit quatre centimes d’euros, l’unité) pour des appels internationaux vers des pays proches et où la société est aussi implantée (Papouasie-Nouvelle-Guinée, Vanuatu, Samoa, Tonga et Nauru).
Le siège régional pour le Pacifique demeure néanmoins à Fidji, a confirmé Niamh Byrne, directeur commercial de Digicel Fiji.
Sur ses marchés existants, toutefois, la politique de poursuite de l’implantation du réseau s’est heurtée ces dernières semaines à des oppositions, notamment à Vanuatu et à Fidji.
Sur l’île de Pentecôte (Nord-est de Vanuatu), les chefs coutumiers locaux viennent d’obtenir que la société démonte la tour qu’elle avait érigé sur un site qu’ils considèrent comme historique et culturel, à Langare.
La société a été priée de réinstaller son matériel à un autre endroit.
Dans la capitale fidjienne Suva, mi-août 2010, dans le cadre d’une autre affaire d’implantation de tour-relais dans une zone résidentielle et près d’un parc, un tribunal a débouté Digicel en appel et a maintenu l’ordre de démonter cette tour de vingt cinq mètres de haut, érigée en 2008 et de payer les frais de procédure de l’ordre de deux mille cinq cent euros.
À Fidji, où la société est en guerre commerciale ouverte avec le concurrent historique, Vodafone, la guerre des tarifs se poursuit : début août 2010, Digicel annonçait le lancement de nouvelles offres permettant de bénéficier de tarifs réduits et forfaitaires (10 centimes de dollar fidjien, soit quatre centimes d’euros, l’unité) pour des appels internationaux vers des pays proches et où la société est aussi implantée (Papouasie-Nouvelle-Guinée, Vanuatu, Samoa, Tonga et Nauru).