![Une galère portugaise a été trouvée dans la baie de Te ava piti à Uturoa, ce week-end [photo facebook les Nouvelles de Raiatea]](https://www.tahiti-infos.com/photo/art/grande/9631606-15497341.jpg?v=1465260138 "Une galère portugaise a été trouvée dans la baie de Te ava piti à Uturoa, ce week-end [photo facebook les Nouvelles de Raiatea]")
![Une galère portugaise a été trouvée dans la baie de Te ava piti à Uturoa, ce week-end [photo facebook les Nouvelles de Raiatea]](https://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/9631606-15497341.jpg?v=1465260146 "Une galère portugaise a été trouvée dans la baie de Te ava piti à Uturoa, ce week-end [photo facebook les Nouvelles de Raiatea]")
Une galère portugaise a été trouvée dans la baie de Te ava piti à Uturoa, ce week-end [photo facebook les Nouvelles de Raiatea]
RAIATEA, le 06/06/2016 - Ce ne sont pas des méduses même si elles y ressemblent. Les galères portugaises appelées aussi "physalie" ou "vessie de mer" sont toutes aussi venimeuses que les méduses. Certaines ont été aperçues dans la baie d'Uturoa et à Avera, ce week-end. Si vous en voyez sur la plage, ne les touchez surtout pas, elles peuvent provoquer de graves symptômes tels que des vomissements, de l'hypertension ou encore une perte de connaissance.
La galère portugaise a atteint nos côtes, certaines ont été trouvées à Avera et à Taputapuatea, ce week-end. Appelée aussi Physalie ou Vessie de mer, la galère portugaise ressemble étrangement à une méduse en forme de ballon ovale translucide avec de longs tentacules colorés. Elle est composée à 90 % d'eau.
Le ballon ovale de la galère portugaise est appelé pneumatophore, il lui permet de se déplacer grâce aux courants marins et au vent. Il est rempli de gaz qu'elle gonfle lorsqu'elle souhaite flotter à la surface des mers. Lorsqu'elle se sent menacée par un prédateur, la galère portugaise se dégonfle légèrement pour redescendre dans les profondeurs marines.
Elle vit généralement au large et elle ne représente donc pas de danger pour l'homme. Mais il arrive que les vents poussent cette créature vers les plages, et dans ce cas, elle devient un véritable danger pour les baigneurs.
Si vous en voyez, il vous est conseillé de ne pas la toucher car elle est venimeuse. Elle peut provoquer de graves symptômes tels que des vomissements, de l'hypertension artérielle ou encore une perte de connaissance, elle peut potentiellement tuer un homme. Même morte, la galère portugaise reste dangereuse.
Les piqûres de galère portugaise dans l'eau, peuvent aussi provoquer un état de choc, et si par malheur elle venait à vous piquer, il est recommandé de tremper la partie piquée dans de l'eau de mer et en passant du sable afin de retirer les derniers filaments accrochés à la peau, en grattant avec une carte bancaire par exemple. Rapprochez-vous, ensuite de votre médecin.
La galère portugaise a atteint nos côtes, certaines ont été trouvées à Avera et à Taputapuatea, ce week-end. Appelée aussi Physalie ou Vessie de mer, la galère portugaise ressemble étrangement à une méduse en forme de ballon ovale translucide avec de longs tentacules colorés. Elle est composée à 90 % d'eau.
Le ballon ovale de la galère portugaise est appelé pneumatophore, il lui permet de se déplacer grâce aux courants marins et au vent. Il est rempli de gaz qu'elle gonfle lorsqu'elle souhaite flotter à la surface des mers. Lorsqu'elle se sent menacée par un prédateur, la galère portugaise se dégonfle légèrement pour redescendre dans les profondeurs marines.
Elle vit généralement au large et elle ne représente donc pas de danger pour l'homme. Mais il arrive que les vents poussent cette créature vers les plages, et dans ce cas, elle devient un véritable danger pour les baigneurs.
Si vous en voyez, il vous est conseillé de ne pas la toucher car elle est venimeuse. Elle peut provoquer de graves symptômes tels que des vomissements, de l'hypertension artérielle ou encore une perte de connaissance, elle peut potentiellement tuer un homme. Même morte, la galère portugaise reste dangereuse.
Les piqûres de galère portugaise dans l'eau, peuvent aussi provoquer un état de choc, et si par malheur elle venait à vous piquer, il est recommandé de tremper la partie piquée dans de l'eau de mer et en passant du sable afin de retirer les derniers filaments accrochés à la peau, en grattant avec une carte bancaire par exemple. Rapprochez-vous, ensuite de votre médecin.
