PAPEETE, le 11 janvier 2016 - Les étudiants maori arrivent mardi matin, tôt le matin. Ils sont attendus de pied ferme par les étudiants ma’ohi. Les deux groupes ont répété chacun sur leur terre, testant via skype des séances d’entraînement groupées. Le spectacle est prévu vendredi au grand théâtre de la Maison de la culture.
Vendredi 8 janvier, au matin, à Punaauia, les élèves de l’université de Polynésie française (UPF) qui participent au projet de liaison artistique inter-universités se sont retrouvés pour répéter. Une fois encore. Depuis que ce projet est né, il y a un an, ils enchaînent les rencontres. "Ce qui est bien, c’est que cela a fédéré des étudiants de différentes spécialités", indique Pita Rataro, inscrit en troisième année d’économie. Au total, ils sont 25 : 23 étudiants et deux enseignants.
En plus de fédérer les étudiants polynésiens, le projet tisse des liens entre des "cousins du Pacifique". Le président de l’Asset-UPF, Taoahere Maono, précise : "La lutte autochtone tahitienne pour la sauvegarde et la promotion de la culture, de son patrimoine matériel et surtout immatériel ne rentre-t-elle pas en résonnance avec toutes les luttes autochtones du Pacifique ? Nous pensons qu’il est temps de nous ouvrir davantage à nos cousins du Pacifique pour que nous puissions discuter, échanger, débattre ensemble de problématiques communes comme le réchauffement climatique, la revitalisation et l’enseignement des langues polynésiennes ou bien encore la connaissance des arts et littératures océaniens. "
Les porteurs du projet de liaison inter-universités entre l’UPF et l’université de Waikato en Nouvelle-Zélande espèrent dans un futur proche organiser un grand rassemblement culturel des universités du Pacifique avec conférences, débats et échanges sur diverses thématiques.
Les étudiants maori arrivent demain mardi. Les répétitions en "live" vont commencer sans attendre. "Nous avons travaillé chacun de notre côté, nous avons essayé de répéter ensemble via skype mais cela n’a pas été très facile. Nous avons donc besoin de nous voir avant le spectacle."
Sur scène vendredi, ils seront une trentaine, des danseurs, chanteurs, musiciens. Le spectacle sera interprété en langue ma’ohi et maori mais "que ceux qui ne parlent ni l’une, ni l’autre ne se fassent pas de souci", rassure Pita Rataro, "le show est très imagé".
Vendredi 8 janvier, au matin, à Punaauia, les élèves de l’université de Polynésie française (UPF) qui participent au projet de liaison artistique inter-universités se sont retrouvés pour répéter. Une fois encore. Depuis que ce projet est né, il y a un an, ils enchaînent les rencontres. "Ce qui est bien, c’est que cela a fédéré des étudiants de différentes spécialités", indique Pita Rataro, inscrit en troisième année d’économie. Au total, ils sont 25 : 23 étudiants et deux enseignants.
En plus de fédérer les étudiants polynésiens, le projet tisse des liens entre des "cousins du Pacifique". Le président de l’Asset-UPF, Taoahere Maono, précise : "La lutte autochtone tahitienne pour la sauvegarde et la promotion de la culture, de son patrimoine matériel et surtout immatériel ne rentre-t-elle pas en résonnance avec toutes les luttes autochtones du Pacifique ? Nous pensons qu’il est temps de nous ouvrir davantage à nos cousins du Pacifique pour que nous puissions discuter, échanger, débattre ensemble de problématiques communes comme le réchauffement climatique, la revitalisation et l’enseignement des langues polynésiennes ou bien encore la connaissance des arts et littératures océaniens. "
Les porteurs du projet de liaison inter-universités entre l’UPF et l’université de Waikato en Nouvelle-Zélande espèrent dans un futur proche organiser un grand rassemblement culturel des universités du Pacifique avec conférences, débats et échanges sur diverses thématiques.
Les étudiants maori arrivent demain mardi. Les répétitions en "live" vont commencer sans attendre. "Nous avons travaillé chacun de notre côté, nous avons essayé de répéter ensemble via skype mais cela n’a pas été très facile. Nous avons donc besoin de nous voir avant le spectacle."
Sur scène vendredi, ils seront une trentaine, des danseurs, chanteurs, musiciens. Le spectacle sera interprété en langue ma’ohi et maori mais "que ceux qui ne parlent ni l’une, ni l’autre ne se fassent pas de souci", rassure Pita Rataro, "le show est très imagé".
Pratique
E rua ia here, Te Hono Hau & Te Hononga Manawa
vendredi 15 janvier
au grand théâtre de la Maison de la culture
À partir de 19 heures
Tarifs : 2 000 Fcfp pour les adultes, 1 000 Fcfp pour les enfants de moins de 12 ans et les étudiants.
Tél. : 87 77 92 88 ou 40 54 45 44
E rua ia here, Te Hono Hau & Te Hononga Manawa
vendredi 15 janvier
au grand théâtre de la Maison de la culture
À partir de 19 heures
Tarifs : 2 000 Fcfp pour les adultes, 1 000 Fcfp pour les enfants de moins de 12 ans et les étudiants.
Tél. : 87 77 92 88 ou 40 54 45 44
