Le Ministre des Ressources Maritimes en charge de la promotion de l’aquaculture, Temauri Foster s’est rendu au Centre Technique Aquacole (CTA) de Vairao afin de suivre l’évolution des travaux qui ont débuté depuis Mars 2010, indique un communiqué de son ministère. En présence d’agents du service de la pêche et d’un agent de l’EAD, le ministre a constaté que les travaux devraient être achevés d’ici juin 2011.
Ce centre technique aquacole a bénéficié du plan de relance avec la participation du Pays et de l’Etat. Il constitue un « outil indispensable au développement de l’aquaculture » selon le ministère, pour qui le CTA de Vaia n’est toutefois qu’un maillon de la chaîne aquacole, avec par exemple la recherche appliquée.
Son rôle, une fois achevé : assurer le service public pendant la phase de développement des filières, avec l’obligation de produire des post larves de crevettes et des alevins pour la filière aquacole, de centraliser les achats et de mettre à disposition une zone de stabulation et de conditionnement pour le réensemencement ou pour l’export.
Par ailleurs, toujours dans le domaine de l’aquaculture, un transfert de 4800 alevins de « paraha peue » a eu lieu de l’écloserie territoriale vers le « pari » où se situe l’élevage de M. Edouard Lehartel, gérant de la société Bora-Bora Aquaculture. Pour rappel en 2010, M. Edouard Lehartel suite à une convention avec le Ministère des ressources maritimes, avait déjà reçu 5000 alevins de la même espèce de poisson.
Selon cet aquaculteur, la phase de croissance se déroule dans de bonnesconditions. Au mois de Décembre et Janvier 2010 il a dû faire face à un taux de mortalité de 10%. Incident du à la présence d’un parasite, le « néobénédénia», naturellement présent dans le lagon, qui a été maîtrisé à l’aide d’un traitement à l’eau oxygénée.
L’implantation d’une nouvelle ferme opérée par la SCA Tahiti Fish Aquaculture à Tautira participera à l’essor de cette filière. Les aquaculteurs se sont engagés à produire des poissons de qualité,garantis sans OGM, ni farines animales, affirme le ministère, qui précise que la première vente est prévue dans deux mois.
Ce centre technique aquacole a bénéficié du plan de relance avec la participation du Pays et de l’Etat. Il constitue un « outil indispensable au développement de l’aquaculture » selon le ministère, pour qui le CTA de Vaia n’est toutefois qu’un maillon de la chaîne aquacole, avec par exemple la recherche appliquée.
Son rôle, une fois achevé : assurer le service public pendant la phase de développement des filières, avec l’obligation de produire des post larves de crevettes et des alevins pour la filière aquacole, de centraliser les achats et de mettre à disposition une zone de stabulation et de conditionnement pour le réensemencement ou pour l’export.
Par ailleurs, toujours dans le domaine de l’aquaculture, un transfert de 4800 alevins de « paraha peue » a eu lieu de l’écloserie territoriale vers le « pari » où se situe l’élevage de M. Edouard Lehartel, gérant de la société Bora-Bora Aquaculture. Pour rappel en 2010, M. Edouard Lehartel suite à une convention avec le Ministère des ressources maritimes, avait déjà reçu 5000 alevins de la même espèce de poisson.
Selon cet aquaculteur, la phase de croissance se déroule dans de bonnesconditions. Au mois de Décembre et Janvier 2010 il a dû faire face à un taux de mortalité de 10%. Incident du à la présence d’un parasite, le « néobénédénia», naturellement présent dans le lagon, qui a été maîtrisé à l’aide d’un traitement à l’eau oxygénée.
L’implantation d’une nouvelle ferme opérée par la SCA Tahiti Fish Aquaculture à Tautira participera à l’essor de cette filière. Les aquaculteurs se sont engagés à produire des poissons de qualité,garantis sans OGM, ni farines animales, affirme le ministère, qui précise que la première vente est prévue dans deux mois.
