Le leader du parti « mauve » déplore le départ d’Emile Vernier. Il dément tout acte de chantage à l’encontre de ce dernier. Teiva Manutahi regrette également le manque de concertation qui a conduit à cette situation.
Peu avant son départ vendredi dernier pour les îles-sous-le-vent, Teiva Manutahi a tenu à apporter des précisions sur le départ d’Emile Vernier, « patron » du SDIRAF. « Monsieur Vernier a pris une décision sans concertation (…) lorsqu’on fait partie d’une liste commune qu’est « Polynésie ensemble », on doit tous œuvrer et aller dans le même sens. » précise Teiva Manutahi.
Concernant sa position sur la loi du pays relatif au départ volontaire, qui est l’une des sources de conflit entre les deux hommes, Teiva Manutahi s’oppose farouchement au dépôt de la requête effectué par Emile Vernier. « C’est un texte qui a été réfléchi par une intersyndicale (…) Monsieur Vernier fait partie d’un syndicat de retraités, pas du syndicat des cadres de l’administration. Les syndicats de salariés et de patronat se sont réunis pour préparer un texte qui a reçu un avis favorable du CESC avec, il est vrai, quelques préconisations. (…) Emile Vernier prend en otage plus de 400 fonctionnaires qui se sont certainement préparés à partir. Et 48 heures avant l’échéance, on viendrait leur dire « ce n’est plus possible » mais imaginez dans quelle situation ils se trouveront… »
Sur la question du positionnement du SDIRAF au sein des circonscriptions, là aussi, Teiva Manutahi répond franchement : «Je ne comprends pas, je pensais qu’il était venu dans l’intérêt général. (…)Une place, ça ne s’impose pas, ça se mérite ! Quand on vient nous dire six mois plus tard que « on s’en va », c’est digne des scénarios des îliens que l’on a pu retrouver dans toutes les majorités qui se sont succédées. Et c’est cela qui a contribué à l’instabilité, donc effectivement, si monsieur Vernier n’est pas content parce qu’il n’a pas eu la place qu’il voulait, il n’a plus sa place au sein de « Polynésie ensemble! »
TP
Peu avant son départ vendredi dernier pour les îles-sous-le-vent, Teiva Manutahi a tenu à apporter des précisions sur le départ d’Emile Vernier, « patron » du SDIRAF. « Monsieur Vernier a pris une décision sans concertation (…) lorsqu’on fait partie d’une liste commune qu’est « Polynésie ensemble », on doit tous œuvrer et aller dans le même sens. » précise Teiva Manutahi.
Concernant sa position sur la loi du pays relatif au départ volontaire, qui est l’une des sources de conflit entre les deux hommes, Teiva Manutahi s’oppose farouchement au dépôt de la requête effectué par Emile Vernier. « C’est un texte qui a été réfléchi par une intersyndicale (…) Monsieur Vernier fait partie d’un syndicat de retraités, pas du syndicat des cadres de l’administration. Les syndicats de salariés et de patronat se sont réunis pour préparer un texte qui a reçu un avis favorable du CESC avec, il est vrai, quelques préconisations. (…) Emile Vernier prend en otage plus de 400 fonctionnaires qui se sont certainement préparés à partir. Et 48 heures avant l’échéance, on viendrait leur dire « ce n’est plus possible » mais imaginez dans quelle situation ils se trouveront… »
Sur la question du positionnement du SDIRAF au sein des circonscriptions, là aussi, Teiva Manutahi répond franchement : «Je ne comprends pas, je pensais qu’il était venu dans l’intérêt général. (…)Une place, ça ne s’impose pas, ça se mérite ! Quand on vient nous dire six mois plus tard que « on s’en va », c’est digne des scénarios des îliens que l’on a pu retrouver dans toutes les majorités qui se sont succédées. Et c’est cela qui a contribué à l’instabilité, donc effectivement, si monsieur Vernier n’est pas content parce qu’il n’a pas eu la place qu’il voulait, il n’a plus sa place au sein de « Polynésie ensemble! »
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