Londres, Royaume-Uni | AFP | mardi 18/08/2015 - Les villes européennes ont souffert d'un déclin de leur qualité de vie en raison de la guerre, de l'austérité et des attentats, selon un classement annuel de 140 villes publié mardi par le cabinet britannique The Economist Intelligence Unit (EIU).
"Les menaces pour la sécurité personnelle, que ce soit sous forme de criminalité, de troubles ou de conflit, ont une influence négative sur les autres aspects de la qualité de vie", explique Jon Copestake, en charge de l'étude, citant notamment le conflit en Ukraine, les attaques terroristes à Paris et l'austérité en Grèce.
Kiev a ainsi expérimenté la plus forte chute au classement par rapport à l'année dernière, tombant à la 132e place, parmi les dix villes les moins agréables à vivre dans le monde.
La capitale française est de son côté tombée de la 20e à la 29e place en raison des attentats contre le magazine satirique Charlie Hebdo.
Quant à Athènes, placée en 72e position, elle est maintenant la seule ville d'Europe occidentale à ne pas figurer dans le premier tiers du classement.
En tête, on trouve pour la cinquième fois consécutive Melbourne (Australie), suivie de la capitale de l'Autriche Vienne et de Vancouver (Canada).
"Celles qui ont le score le plus élevé ont tendance à être des villes de taille moyenne dans les pays riches avec une faible densité de population", explique le rapport.
Plusieurs critères entrent en ligne de compte pour ce classement: stabilité sociale et politique, taux de criminalité, accès à des soins médicaux de qualité, vie culturelle, environnement, scolarité et infrastructures.
Ainsi, "New York (55e), Londres (53e), Paris (29e) et Tokyo (15e) sont toutes des hubs prestigieux avec beaucoup d'activités de loisir mais toutes souffrent de niveaux de criminalité plus élevés, de congestion et de problèmes de transports publics", indique l'EIU.
Tout en bas du classement se trouve Damas, la capitale de la Syrie, pays en guerre depuis plus de quatre ans.
"Les conflits sont responsables de beaucoup des scores les plus faibles", note l'étude, alors que la capitale de la Libye et celle du Nigeria, deux pays déstabilisés par des groupes armés, se classent respectivement en 136e et 137e position.
"Les menaces pour la sécurité personnelle, que ce soit sous forme de criminalité, de troubles ou de conflit, ont une influence négative sur les autres aspects de la qualité de vie", explique Jon Copestake, en charge de l'étude, citant notamment le conflit en Ukraine, les attaques terroristes à Paris et l'austérité en Grèce.
Kiev a ainsi expérimenté la plus forte chute au classement par rapport à l'année dernière, tombant à la 132e place, parmi les dix villes les moins agréables à vivre dans le monde.
La capitale française est de son côté tombée de la 20e à la 29e place en raison des attentats contre le magazine satirique Charlie Hebdo.
Quant à Athènes, placée en 72e position, elle est maintenant la seule ville d'Europe occidentale à ne pas figurer dans le premier tiers du classement.
En tête, on trouve pour la cinquième fois consécutive Melbourne (Australie), suivie de la capitale de l'Autriche Vienne et de Vancouver (Canada).
"Celles qui ont le score le plus élevé ont tendance à être des villes de taille moyenne dans les pays riches avec une faible densité de population", explique le rapport.
Plusieurs critères entrent en ligne de compte pour ce classement: stabilité sociale et politique, taux de criminalité, accès à des soins médicaux de qualité, vie culturelle, environnement, scolarité et infrastructures.
Ainsi, "New York (55e), Londres (53e), Paris (29e) et Tokyo (15e) sont toutes des hubs prestigieux avec beaucoup d'activités de loisir mais toutes souffrent de niveaux de criminalité plus élevés, de congestion et de problèmes de transports publics", indique l'EIU.
Tout en bas du classement se trouve Damas, la capitale de la Syrie, pays en guerre depuis plus de quatre ans.
"Les conflits sont responsables de beaucoup des scores les plus faibles", note l'étude, alors que la capitale de la Libye et celle du Nigeria, deux pays déstabilisés par des groupes armés, se classent respectivement en 136e et 137e position.