Les services de l'équipement effectuent depuis plusieurs mois des travaux de remblayage sur la commune de Tumaraa.
Toutes les plages ont été remplacées par des remblais qui ont balayé les éco-systèmes et ont fait gagner à l'homme dix métres de terre sur le lagon. Mais à quel prix ... qui dit remblais dit terre, dit budget et c'est ce qui doit manquer à cette autorité puisque depuis trois jours, une décharge à ciel ouverte a été mise en place afin de combler un trou laissé béant par les engins faute de matériaux végétaux.
Et, en effet, sur l'invitation des employés de ce service, la population sans scrupule, s'est débarrassé de ses déchets encombrants directement dans ce trou. Aucune précaution d'usage n'a été observée et l'on retrouve pelle mêle vielles télévisions, machines à laver, ordinateur complet, congélateur et réfrigérateurs, pot de peinture, piles, batteries sans oublier les éternelles couches-culottes et déchets ménagers divers non ramassés par la commune.
Ce remblais communique avec le lagon et au vu de la couleur de l'eau de ce trou, nous n'avons pas de mal à imaginer les dégâts importants immédiats dans le lagon.
Les membres de la commune n'ont pris aucune mesure pour nettoyer l'endroit ou empécher d'autre personne de rajouter des éléments, au contraire, nous constatons un certain laisser-aller sur les questions environnementales puisque déjà aucune opposition n'a été formulée devant les kilomètres de remblais imposés par les mesures anti-catastrophes naturelles décidées par un ministre de passage.
A vrai dire, gagner dix mètres de bord de mer, c'est bien, disent les riverains ... même si les enfants n'ont plus de plage !
Tout ceci nous ramène au texte de Fred Vargas : "nous y voilà,nous y sommes ... à la troisième révolution ... et on est obligée de la faire, oui, on a pas le choix car la Terre nous crie son ultimatum : Sauvez moi ou crevez avec moi ..."
Toutes les plages ont été remplacées par des remblais qui ont balayé les éco-systèmes et ont fait gagner à l'homme dix métres de terre sur le lagon. Mais à quel prix ... qui dit remblais dit terre, dit budget et c'est ce qui doit manquer à cette autorité puisque depuis trois jours, une décharge à ciel ouverte a été mise en place afin de combler un trou laissé béant par les engins faute de matériaux végétaux.
Et, en effet, sur l'invitation des employés de ce service, la population sans scrupule, s'est débarrassé de ses déchets encombrants directement dans ce trou. Aucune précaution d'usage n'a été observée et l'on retrouve pelle mêle vielles télévisions, machines à laver, ordinateur complet, congélateur et réfrigérateurs, pot de peinture, piles, batteries sans oublier les éternelles couches-culottes et déchets ménagers divers non ramassés par la commune.
Ce remblais communique avec le lagon et au vu de la couleur de l'eau de ce trou, nous n'avons pas de mal à imaginer les dégâts importants immédiats dans le lagon.
Les membres de la commune n'ont pris aucune mesure pour nettoyer l'endroit ou empécher d'autre personne de rajouter des éléments, au contraire, nous constatons un certain laisser-aller sur les questions environnementales puisque déjà aucune opposition n'a été formulée devant les kilomètres de remblais imposés par les mesures anti-catastrophes naturelles décidées par un ministre de passage.
A vrai dire, gagner dix mètres de bord de mer, c'est bien, disent les riverains ... même si les enfants n'ont plus de plage !
Tout ceci nous ramène au texte de Fred Vargas : "nous y voilà,nous y sommes ... à la troisième révolution ... et on est obligée de la faire, oui, on a pas le choix car la Terre nous crie son ultimatum : Sauvez moi ou crevez avec moi ..."
