Ajaccio, France | AFP | mardi 13/10/2020 - Le député corse (Libertés et Territoires) Michel Castellani a indiqué mardi soir être "hospitalisé" à Bastia "en raison d'une contamination au Covid-19" quelques heures après le retour à l'Assemblée nationale de son collègue du Haut-Rhin, Jean-Luc Reitzer, rescapé du coronavirus.
"Je veux remercier chaleureusement le personnel de l'hôpital de Bastia pour son professionnalisme et sa disponibilité", a également tweeté Michel Castellani, économiste et député du parti autonomiste du président du conseil exécutif Corse Gilles Simeoni, Femu a Corsica et membre du groupe parlementaire Libertés et territoires.
"J'appelle chacun(e) à la plus extrême prudence", a ajouté ce député de la 1ère circonscription de Haute-Corse. Celui qui est aussi conseiller municipal de Bastia et professeur des universités a émis l'espoir, en langue corse, de pouvoir reprendre rapidement ses activités.
A l'Assemblée nationale, le député LR du Haut-Rhin Jean-Luc Reitzer, rescapé du Covid-19 après de longues semaines en réanimation, a fêté son retour mardi "avec émotion", sous l'ovation de ses collègues. Plusieurs autres députés et personnels de l’Assemblée ont été contaminés lors de la première vague de l'épidémie.
Jean-Luc Reitzer avait été le premier parlementaire officiellement atteint par le Covid-19 avec des premiers symptômes fin février. Admis deux mois et demi à l'hôpital Emile-Muller de Mulhouse, il avait passé quatre semaines dans le coma. Il avait pu rentrer chez lui à Altkirch mi-mai, après avoir perdu 20 kilos.
Dans l'hémicycle, la demi-jauge pour les députés est devenue obligatoire mardi après avoir été recommandée. Les sanctions prévues pour défaut d'assiduité sont temporairement suspendues.
"Aucun mot, courrier, ni document ne pourra plus circuler dans l'hémicycle par l'intermédiaire des huissiers", a précisé le président de l'Assemblée Richard Ferrand (LREM).
Le port du masque, en commission comme en séance, est "obligatoire en permanence, y compris lors des interventions des orateurs", a-t-il souligné, alors que certains jusqu'alors l'enlevaient.
Cette nouvelle salve de dispositions sanitaires intervient alors que Paris est en zone d'alerte maximale depuis une semaine et que de nouvelles mesures pourraient être annoncées mercredi par Emmanuel Macron.
"Je veux remercier chaleureusement le personnel de l'hôpital de Bastia pour son professionnalisme et sa disponibilité", a également tweeté Michel Castellani, économiste et député du parti autonomiste du président du conseil exécutif Corse Gilles Simeoni, Femu a Corsica et membre du groupe parlementaire Libertés et territoires.
"J'appelle chacun(e) à la plus extrême prudence", a ajouté ce député de la 1ère circonscription de Haute-Corse. Celui qui est aussi conseiller municipal de Bastia et professeur des universités a émis l'espoir, en langue corse, de pouvoir reprendre rapidement ses activités.
A l'Assemblée nationale, le député LR du Haut-Rhin Jean-Luc Reitzer, rescapé du Covid-19 après de longues semaines en réanimation, a fêté son retour mardi "avec émotion", sous l'ovation de ses collègues. Plusieurs autres députés et personnels de l’Assemblée ont été contaminés lors de la première vague de l'épidémie.
Jean-Luc Reitzer avait été le premier parlementaire officiellement atteint par le Covid-19 avec des premiers symptômes fin février. Admis deux mois et demi à l'hôpital Emile-Muller de Mulhouse, il avait passé quatre semaines dans le coma. Il avait pu rentrer chez lui à Altkirch mi-mai, après avoir perdu 20 kilos.
Dans l'hémicycle, la demi-jauge pour les députés est devenue obligatoire mardi après avoir été recommandée. Les sanctions prévues pour défaut d'assiduité sont temporairement suspendues.
"Aucun mot, courrier, ni document ne pourra plus circuler dans l'hémicycle par l'intermédiaire des huissiers", a précisé le président de l'Assemblée Richard Ferrand (LREM).
Le port du masque, en commission comme en séance, est "obligatoire en permanence, y compris lors des interventions des orateurs", a-t-il souligné, alors que certains jusqu'alors l'enlevaient.
Cette nouvelle salve de dispositions sanitaires intervient alors que Paris est en zone d'alerte maximale depuis une semaine et que de nouvelles mesures pourraient être annoncées mercredi par Emmanuel Macron.