PAPEETE, le 23 novembre 2015. Presque 700 athlètes ont participé à la 2e édition de la Urban Run organisée par le comité d’entreprise d’ATN, en partenariat avec l’as Tefana et sous l’égide de la fédé d’athlétisme. C’est encore le triathlète Cédric Wane qui s’est imposé, en bouclant les 4,5 km en 13’16, devant Samuel Aragaw qui gagne sa 2e place au sprint devant le jeune Brian Gruez.
Chez les femmes, c’est Sophie Bouchonnet qui gagne devant Karine Voiturin et Mathilde Soulon. Le parcours a changé par rapport à l’année dernière, la course a de plus en plus de succès, en partie grâce aux nombreux lots offerts par les sponsors par tirage au sort, dont des billets d’avion internationaux. Cela semble être une des formules gagnantes pour stimuler la participation.
Cédric Wane a remporté énormément de courses depuis le début de la saison mais Teiva Izal, absent samedi, a su montrer qu’il était bien présent en remportant le 15km des Foulées du Front de mer ou le Raid Papenoo, même si Cédric Wane a pu prendre le dessus lors de la Féria Carrefour sur 12km, il y a dix jours, devant Samuel Aragaw et Teiva Izal. Devenu père tout récemment Teiva Izal apparemment choisit ses courses.
Chez les femmes, c’est Sophie Bouchonnet qui gagne devant Karine Voiturin et Mathilde Soulon. Le parcours a changé par rapport à l’année dernière, la course a de plus en plus de succès, en partie grâce aux nombreux lots offerts par les sponsors par tirage au sort, dont des billets d’avion internationaux. Cela semble être une des formules gagnantes pour stimuler la participation.
Cédric Wane a remporté énormément de courses depuis le début de la saison mais Teiva Izal, absent samedi, a su montrer qu’il était bien présent en remportant le 15km des Foulées du Front de mer ou le Raid Papenoo, même si Cédric Wane a pu prendre le dessus lors de la Féria Carrefour sur 12km, il y a dix jours, devant Samuel Aragaw et Teiva Izal. Devenu père tout récemment Teiva Izal apparemment choisit ses courses.
Cédric Wane au micro de Tahiti Infos :
Quelques mots sur le parcours ?
« Cela m’a rappelé un peu les Foulées du front de mer, c’est roulant, c’est rapide, il faut être ample et avoir une bonne mécanique, il n y’ a pas beaucoup de tournants donc c’est un parcours où il faut être rapide. Il y a beaucoup de monde, c’est magnifique, sur le front de mer ça démocratise un peu, ça motive un peu les gens qui veulent faire du sport plutôt que de faire ça en fond de vallée avec peu de public. »
Ton analyse de la course ?
« Je n’ai pas pris la tête d’emblée, un triathlète que je ne connais pas du tout est parti comme une fusée. On l’a rattrapé au bout de 2,5km environ. Il est peut être parti un peu trop vite. J’ai essayer de contrôler la situation, dès qu’on la rattrapé j’ai essayé de ‘remettre une couche’, cela a suffit. »
Tu enchaines les victoires depuis la rentrée ?
« Ce n’est jamais facile. A chaque départ, il faut tout redémontrer, je fais comme si c’était ma première course à chaque fois. C’est une chose de gagner mais de mettre le meilleur de soi-même, c’est ça le plus important. Imaginons que j’aille en Nouvelle Zélande et que je termine dernier. Si j’ai donné le meilleur de moi même, je serais beaucoup plus heureux que si je terminais premier ici sans motivation. »
Des discussions sont en cours pour que tu soie ambassadeur ATN ?
« Ce serait un rêve de pouvoir faire les courses à l’étranger contre des professionnels d’un meilleur niveau. Je n’en sais pas plus, si c’était le cas, je serais vraiment heureux de représenter les couleurs de Tahiti à l’étranger pour essayer de progresser au niveau de mes performances pour les Océanias ou les Jeux du Pacifique. »
Il faudra penser à un remplaçant pour la gestion de ton restaurant estampillé ‘healthy food’ ?
« J’ai l’énorme chance d’avoir un petit frère et une petite sœur sur qui je peux compter pendant mon absence, parce qu’on se relaie. C’est rare d’avoir des personnes de confiance, des personnes sur qui on peut compter. Si j’ai des absences, ils sont là pour me soutenir. »
Pas de sport sans nutrition, toi qui es végétarien ?
« Pour moi, la nutrition est plus importante que mes entrainements. C’est hyper important. J’ai consommé de la malbouffe jusqu’à mes 19-20 ans. En basculant dans une nutrition réfléchie, j’ai vu la différence, c’est énorme. Il vaut mieux s’entrainer peu et bien manger que de s’entrainer comme un malade et consommer de la malbouffe. Il n’y a pas photo. » SB
Quelques mots sur le parcours ?
« Cela m’a rappelé un peu les Foulées du front de mer, c’est roulant, c’est rapide, il faut être ample et avoir une bonne mécanique, il n y’ a pas beaucoup de tournants donc c’est un parcours où il faut être rapide. Il y a beaucoup de monde, c’est magnifique, sur le front de mer ça démocratise un peu, ça motive un peu les gens qui veulent faire du sport plutôt que de faire ça en fond de vallée avec peu de public. »
Ton analyse de la course ?
« Je n’ai pas pris la tête d’emblée, un triathlète que je ne connais pas du tout est parti comme une fusée. On l’a rattrapé au bout de 2,5km environ. Il est peut être parti un peu trop vite. J’ai essayer de contrôler la situation, dès qu’on la rattrapé j’ai essayé de ‘remettre une couche’, cela a suffit. »
Tu enchaines les victoires depuis la rentrée ?
« Ce n’est jamais facile. A chaque départ, il faut tout redémontrer, je fais comme si c’était ma première course à chaque fois. C’est une chose de gagner mais de mettre le meilleur de soi-même, c’est ça le plus important. Imaginons que j’aille en Nouvelle Zélande et que je termine dernier. Si j’ai donné le meilleur de moi même, je serais beaucoup plus heureux que si je terminais premier ici sans motivation. »
Des discussions sont en cours pour que tu soie ambassadeur ATN ?
« Ce serait un rêve de pouvoir faire les courses à l’étranger contre des professionnels d’un meilleur niveau. Je n’en sais pas plus, si c’était le cas, je serais vraiment heureux de représenter les couleurs de Tahiti à l’étranger pour essayer de progresser au niveau de mes performances pour les Océanias ou les Jeux du Pacifique. »
Il faudra penser à un remplaçant pour la gestion de ton restaurant estampillé ‘healthy food’ ?
« J’ai l’énorme chance d’avoir un petit frère et une petite sœur sur qui je peux compter pendant mon absence, parce qu’on se relaie. C’est rare d’avoir des personnes de confiance, des personnes sur qui on peut compter. Si j’ai des absences, ils sont là pour me soutenir. »
Pas de sport sans nutrition, toi qui es végétarien ?
« Pour moi, la nutrition est plus importante que mes entrainements. C’est hyper important. J’ai consommé de la malbouffe jusqu’à mes 19-20 ans. En basculant dans une nutrition réfléchie, j’ai vu la différence, c’est énorme. Il vaut mieux s’entrainer peu et bien manger que de s’entrainer comme un malade et consommer de la malbouffe. Il n’y a pas photo. » SB