Le vice-président, Edouard Fritch, en charge du développement des collectivités, a signé jeudi 20 janvier 2011 quatre conventions d’investissement DDC en faveur des communes de Rimatara et Rapa, puis deux autres conventions avec Papara dans le cadre cette fois-ci du Contrat de projets.
Rimatara tout d’abord dont le tavana, Damas Utia, était présent pour parapher les documents administratifs, a obtenu un co-financement du Pays pour trois dossiers.
Le premier porte sur la rénovation (tranche 2) du complexe sportif de l’île. Pour un investissement estimé à 8 160 000 Fcfp, la Polynésie française financera les travaux à hauteur de 80%, soit 6 528 000 Fcfp. Le second a trait à la construction du bâtiment de la police municipale. Coût global : 15 millions de Fcfp. Niveau de la prise en charge : 19%, soit 2 886 702 Fcfp. Le troisième enfin va permettre l’acquisition d’un chargeur excavateur. Sur les 10 498 000 Fcfp que coûte ce type de matériel, la Polynésie française en paiera 70% (7 348 600 Fcfp).
S’agissant de Rapa, représenté par son premier magistrat, Narii Tuanainai, le Pays a été sollicité dans le cadre de travaux de bétonnage de la route de Vaitangi sur une distance de 1 km. Le chantier dont la facture est de 40 264 851 Fcfp sera financé à 80% par le Pays, ce qui constitue un apport de 32 211 881 Fcfp.
A Papara enfin, les deux opérations visées s’inscrivent dans le cadre du Contrat de projets avec l’Etat. Le député-maire, Bruno Sandras, semble faire de l’amélioration du réseau d’adduction d’eau potable (AEP) une priorité puisque les financements demandés concernent, d’une part, la réalisation d’une étude complémentaire (coût hors taxes: 30 742 140 Fcfp, subvention de 35% du montant) et d’autre part, la mise en œuvre de travaux urgents de détection et de réparation des fuites existantes (coût hors taxes : 45 361 360 Fcfp, subvention de 35% du montant).
Rimatara tout d’abord dont le tavana, Damas Utia, était présent pour parapher les documents administratifs, a obtenu un co-financement du Pays pour trois dossiers.
Le premier porte sur la rénovation (tranche 2) du complexe sportif de l’île. Pour un investissement estimé à 8 160 000 Fcfp, la Polynésie française financera les travaux à hauteur de 80%, soit 6 528 000 Fcfp. Le second a trait à la construction du bâtiment de la police municipale. Coût global : 15 millions de Fcfp. Niveau de la prise en charge : 19%, soit 2 886 702 Fcfp. Le troisième enfin va permettre l’acquisition d’un chargeur excavateur. Sur les 10 498 000 Fcfp que coûte ce type de matériel, la Polynésie française en paiera 70% (7 348 600 Fcfp).
S’agissant de Rapa, représenté par son premier magistrat, Narii Tuanainai, le Pays a été sollicité dans le cadre de travaux de bétonnage de la route de Vaitangi sur une distance de 1 km. Le chantier dont la facture est de 40 264 851 Fcfp sera financé à 80% par le Pays, ce qui constitue un apport de 32 211 881 Fcfp.
A Papara enfin, les deux opérations visées s’inscrivent dans le cadre du Contrat de projets avec l’Etat. Le député-maire, Bruno Sandras, semble faire de l’amélioration du réseau d’adduction d’eau potable (AEP) une priorité puisque les financements demandés concernent, d’une part, la réalisation d’une étude complémentaire (coût hors taxes: 30 742 140 Fcfp, subvention de 35% du montant) et d’autre part, la mise en œuvre de travaux urgents de détection et de réparation des fuites existantes (coût hors taxes : 45 361 360 Fcfp, subvention de 35% du montant).
