PAPEETE, le 25 septembre 2018 - Osez en parler, vous renseigner, questionner et, au besoin, en utiliser. Cette semaine c’est la semaine mondiale de la contraception, c’est une bonne occasion d’aborder le sujet qui reste tabou avec des ami(e)s, infirmiers et infirmières de l’école ou de ton entourage… L’essentiel, quel que soit ton interlocuteur, c’est de savoir.
Avant toute chose, on pose les bases. La contraception, c’est quoi ? C’est choisir d’entraver la procréation, c’est-à-dire la reproduction humaine. C’est décider de ne pas tomber enceinte. Le contraceptif va empêche soit les spermatozoïdes soit l’ovule de remplir son rôle. Le contraceptif empêche donc la fécondation et donc la grossesse.
Ce choix est temporaire et réversible. L’usage de contraceptifs ne rend pas stériles. Par ailleurs, il ne faut pas confondre la contraception avec la prévention contre les maladies sexuellement transmissibles même si des moyens communs existent comme le préservatif.
La grossesse a un impact direct sur ta vie si tu es une fille. Ceci étant dit, tu as aussi ton rôle à jouer si tu es un garçon ! La contraception n’est pas une réflexion exclusivement féminine. Il n’y a pas non plus d’âge "normal" pour commencer à en parler ou à en prendre.
Il faut savoir que 55% des grossesses suivies dans les structures publiques sont des grossesses non planifiées et, qu’en 2010, 3,1 % des mères étaient mineures. Ce qui laisse supposer qu’un certain nombre de garçons de moins de 18 ans étaient également pères.
Il existe plusieurs moyens de contraception comme le préservatif, la pilule, l’implant (Implanon), le stérilet, l’anneau, le patch… À toi de choisir ce qui te convient le mieux en fonction de ton quotidien, des préjugés que tu peux avoir sur l’un ou l’autre des moyens existants, de ta relation avec ton copain mais aussi de tes parents.
L’autorisation des parents n’est pas obligatoire, tu peux garder ça pour toi sans avoir à leur en parler. Les consultations sont confidentielles. Elles sont aussi gratuites dans les structures de santé comme les dispensaires, les hôpitaux, le centre de la mère et de l’enfant de Hamuta. Le moyen de contraception est lui aussi gratuit.
Tu as peut-être entendu parler de méthodes naturelles comme le retrait, le calendrier, la température, la glaire cervicale, les capes, diaphragmes et spermicides. Ces méthodes existent mais elles ne sont pas fiables.
Avant toute chose, on pose les bases. La contraception, c’est quoi ? C’est choisir d’entraver la procréation, c’est-à-dire la reproduction humaine. C’est décider de ne pas tomber enceinte. Le contraceptif va empêche soit les spermatozoïdes soit l’ovule de remplir son rôle. Le contraceptif empêche donc la fécondation et donc la grossesse.
Ce choix est temporaire et réversible. L’usage de contraceptifs ne rend pas stériles. Par ailleurs, il ne faut pas confondre la contraception avec la prévention contre les maladies sexuellement transmissibles même si des moyens communs existent comme le préservatif.
La grossesse a un impact direct sur ta vie si tu es une fille. Ceci étant dit, tu as aussi ton rôle à jouer si tu es un garçon ! La contraception n’est pas une réflexion exclusivement féminine. Il n’y a pas non plus d’âge "normal" pour commencer à en parler ou à en prendre.
Il faut savoir que 55% des grossesses suivies dans les structures publiques sont des grossesses non planifiées et, qu’en 2010, 3,1 % des mères étaient mineures. Ce qui laisse supposer qu’un certain nombre de garçons de moins de 18 ans étaient également pères.
Il existe plusieurs moyens de contraception comme le préservatif, la pilule, l’implant (Implanon), le stérilet, l’anneau, le patch… À toi de choisir ce qui te convient le mieux en fonction de ton quotidien, des préjugés que tu peux avoir sur l’un ou l’autre des moyens existants, de ta relation avec ton copain mais aussi de tes parents.
L’autorisation des parents n’est pas obligatoire, tu peux garder ça pour toi sans avoir à leur en parler. Les consultations sont confidentielles. Elles sont aussi gratuites dans les structures de santé comme les dispensaires, les hôpitaux, le centre de la mère et de l’enfant de Hamuta. Le moyen de contraception est lui aussi gratuit.
Tu as peut-être entendu parler de méthodes naturelles comme le retrait, le calendrier, la température, la glaire cervicale, les capes, diaphragmes et spermicides. Ces méthodes existent mais elles ne sont pas fiables.
Pratique
Des stands d’informations sont mis en place au centre de la mère et de l’enfant à Pirae et dans les dispensaires. Mercredi au parc Bougainville, un stand d’informations et des animations sont prévues.
Des stands d’informations sont mis en place au centre de la mère et de l’enfant à Pirae et dans les dispensaires. Mercredi au parc Bougainville, un stand d’informations et des animations sont prévues.