Tahiti, le 28 juin 2022 – Le ministre de la Culture, de l’Environnement et des Ressources marines, Heremoana Maamaatuaiahutapu, participe en ce moment à la Conférence de l’ONU sur les océans, qui se tient jusqu’à vendredi à Lisbonne, au Portugal. Au cours des deux premiers jours, il a notamment rencontré d’autres leaders du Pacifique ainsi que des représentants de peuples autochtones afin d’échanger autour de la protection et la gestion durable des océans.
Le ministre de la Culture, de l’Environnement et des Ressources marines, Heremoana Maamaatuaiahutapu, est actuellement en déplacement à Lisbonne, au Portugal, dans le cadre de la Conférence de l’ONU sur les océans, qui s’est ouverte lundi matin. “Co-organisée par les gouvernements du Kenya et du Portugal, cette seconde conférence de la décennie des océans de l’ONU rassemble de nombreux chefs d’État et de gouvernement, des décideurs et des experts, des organisations non gouvernementales et de la société civile, sur la thématique de la protection et la gestion durable des océans”, explique par voie de communiqué le gouvernement de la Polynésie française.
En attendant son allocution en séance plénière, le ministre a participé à plusieurs événements parallèles afin de “porter le message des Polynésiens en faveur de la protection de notre océan”. Lundi, il a rencontré le Dr Bruno Oberle, directeur général de l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN). Cette dernière est “l’une des principales organisations non gouvernementales mondiales consacrées à la conservation de la nature. Sa mission est d’influencer, d’encourager et d’assister les sociétés du monde entier, dans la conservation de l’intégrité et de la biodiversité de la nature, ainsi que de s’assurer que l’utilisation des ressources naturelles est faite de façon équitable et durable”. Ils ont ainsi pu discuter de l’éventualité d’un partenariat autour “de la lutte contre les techniques de pêche impactantes, interdites dans notre zone économique exclusive, mais largement utilisées dans les eaux internationales”.
Lors de rencontres informelles avec d’autres leaders du Pacifique, Heremoana Maamaatuaiahutapu a également traité de la question des échanges et de la coopération régionale, avec notamment le Premier ministre des Fidji, Ratu Josaia Voreqe Bainimarama, et le président de la République des Palaos, Surangel Whipps Jr.
Le lendemain, le ministre polynésien a été invité à s’exprimer au cours d’une rencontre avec des représentants des peuples autochtones “organisée par la Société pour la nature et les parcs du Canada, organisme de bienfaisance qui se consacre à la protection des terres publiques, des eaux intérieures et des océans dans le respect de la souveraineté et du leadership des nations autochtones”. L’occasion pour Heremoana Maamaatuaiahutapu de rappeler “l’importance des connaissances et des savoir-faire traditionnels dans la bonne gestion de nos espaces et de nos espèces”.
La Conférence de l’ONU sur les Océans prend fin ce vendredi.
Le ministre de la Culture, de l’Environnement et des Ressources marines, Heremoana Maamaatuaiahutapu, est actuellement en déplacement à Lisbonne, au Portugal, dans le cadre de la Conférence de l’ONU sur les océans, qui s’est ouverte lundi matin. “Co-organisée par les gouvernements du Kenya et du Portugal, cette seconde conférence de la décennie des océans de l’ONU rassemble de nombreux chefs d’État et de gouvernement, des décideurs et des experts, des organisations non gouvernementales et de la société civile, sur la thématique de la protection et la gestion durable des océans”, explique par voie de communiqué le gouvernement de la Polynésie française.
En attendant son allocution en séance plénière, le ministre a participé à plusieurs événements parallèles afin de “porter le message des Polynésiens en faveur de la protection de notre océan”. Lundi, il a rencontré le Dr Bruno Oberle, directeur général de l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN). Cette dernière est “l’une des principales organisations non gouvernementales mondiales consacrées à la conservation de la nature. Sa mission est d’influencer, d’encourager et d’assister les sociétés du monde entier, dans la conservation de l’intégrité et de la biodiversité de la nature, ainsi que de s’assurer que l’utilisation des ressources naturelles est faite de façon équitable et durable”. Ils ont ainsi pu discuter de l’éventualité d’un partenariat autour “de la lutte contre les techniques de pêche impactantes, interdites dans notre zone économique exclusive, mais largement utilisées dans les eaux internationales”.
Lors de rencontres informelles avec d’autres leaders du Pacifique, Heremoana Maamaatuaiahutapu a également traité de la question des échanges et de la coopération régionale, avec notamment le Premier ministre des Fidji, Ratu Josaia Voreqe Bainimarama, et le président de la République des Palaos, Surangel Whipps Jr.
Le lendemain, le ministre polynésien a été invité à s’exprimer au cours d’une rencontre avec des représentants des peuples autochtones “organisée par la Société pour la nature et les parcs du Canada, organisme de bienfaisance qui se consacre à la protection des terres publiques, des eaux intérieures et des océans dans le respect de la souveraineté et du leadership des nations autochtones”. L’occasion pour Heremoana Maamaatuaiahutapu de rappeler “l’importance des connaissances et des savoir-faire traditionnels dans la bonne gestion de nos espaces et de nos espèces”.
La Conférence de l’ONU sur les Océans prend fin ce vendredi.