En présence des représentants des neufs départements ministériels concernés dont le ministre de l’économie rurale, Frédéric Riveta, ainsi que de collaborateurs des élus marquisiens, le vice-président a souhaité en effet tenir cette réunion d’information après que l’ensemble des six maires de l’archipel aient officiellement fait part de leurs revendications au Pays.
Celles-ci reposent, d’une part, sur l’adoption par l’assemblée de la Polynésie française d’une proposition de loi du pays relative à la définition des conditions d’intervention des communes et de leurs groupements pour la mise en œuvre de l’article L5214-16-1 du CGCT applicable en Polynésie française, et d’autre part, sur un projet de statut de cette « communauté de communes des Marquises ».
Aussi surprenante soit-elle, Edouard Fritch a jugé cette initiative « parfaitement naturelle ». « Ces maires sont sans interlocuteurs depuis l’abandon du chantier de la déconcentration administrative (…) Leur souci, ce n’est pas de récupérer des compétences nouvelles mais de participer à la réflexion pour le développement de leur archipel ».
De l’adoption d’un schéma de développement touristique à celui du développement maritime en passant par la promotion des filières économiques et l’encouragement des activités de jeunesse, les maires ont déjà une idée des domaines dans lesquels ils comptent mettent leur énergie en commun pour agir.
Aussi, le vice-président a invité ses interlocuteurs des différents ministères à prendre toute la mesure de ce vaste chantier, estimant par ailleurs qu’il faudra s’attendre à ce que d’autres archipels fassent la même demande.
Pour bien cerner les enjeux, une présentation « power point » a été faite, permettant aux différents participants de bien comprendre ce qu’est une communauté de communes, son mode de fonctionnement et les moyens (financiers, humains etc) qui lui sont alloués, ainsi que les dispositions statutaires prévues en la matière.
A la suite de cette réunion d’information sur un concept nouveau en Polynésie française, le vice-président a indiqué qu’un calendrier de travail avec chacun des ministères concernés sera communiqué, afin d’analyser et d’arrêter dans le détail les termes du projet de loi de Pays élaboré par les élus marquisiens. Une réunion plénière est prévue le 7 mai prochain pour arrêter la mouture globale du texte à présenter au conseil des ministres, avant toute saisine de l’assemblée de la Polynésie française.
Celles-ci reposent, d’une part, sur l’adoption par l’assemblée de la Polynésie française d’une proposition de loi du pays relative à la définition des conditions d’intervention des communes et de leurs groupements pour la mise en œuvre de l’article L5214-16-1 du CGCT applicable en Polynésie française, et d’autre part, sur un projet de statut de cette « communauté de communes des Marquises ».
Aussi surprenante soit-elle, Edouard Fritch a jugé cette initiative « parfaitement naturelle ». « Ces maires sont sans interlocuteurs depuis l’abandon du chantier de la déconcentration administrative (…) Leur souci, ce n’est pas de récupérer des compétences nouvelles mais de participer à la réflexion pour le développement de leur archipel ».
De l’adoption d’un schéma de développement touristique à celui du développement maritime en passant par la promotion des filières économiques et l’encouragement des activités de jeunesse, les maires ont déjà une idée des domaines dans lesquels ils comptent mettent leur énergie en commun pour agir.
Aussi, le vice-président a invité ses interlocuteurs des différents ministères à prendre toute la mesure de ce vaste chantier, estimant par ailleurs qu’il faudra s’attendre à ce que d’autres archipels fassent la même demande.
Pour bien cerner les enjeux, une présentation « power point » a été faite, permettant aux différents participants de bien comprendre ce qu’est une communauté de communes, son mode de fonctionnement et les moyens (financiers, humains etc) qui lui sont alloués, ainsi que les dispositions statutaires prévues en la matière.
A la suite de cette réunion d’information sur un concept nouveau en Polynésie française, le vice-président a indiqué qu’un calendrier de travail avec chacun des ministères concernés sera communiqué, afin d’analyser et d’arrêter dans le détail les termes du projet de loi de Pays élaboré par les élus marquisiens. Une réunion plénière est prévue le 7 mai prochain pour arrêter la mouture globale du texte à présenter au conseil des ministres, avant toute saisine de l’assemblée de la Polynésie française.