Un compromis de vente a été signé avec l’acheteur qui a jusqu’au 22 décembre 2010 pour signer l’acte de vente définitif. Ce délai permettra à l’acheteur d’effectuer toutes les formalités nécessaires à la concrétisation de son achat. Il a toutefois d’ores et déjà fait un dépôt de 450.000 dollars NZ.
Au mois d’août, il avait été procédé à une vente aux enchères de ce bien du pays à Auckland. Mais la dernière proposition étant de 4,225 millions de dollars NZ, soit un montant bien inférieur à la fourchette de négociation (entre 5,1 et 5,8 millions de dollars NZ) fixée par la commission des évaluations immobilières (CEI), la vente n’avait donc pas été conclue.
A la suite de cette vente aux enchères, la commission des évaluations immobilières du pays avait à nouveau été saisie et avait accepté le principe d’une cession pour un montant inférieur à l’estimation initiale.
La négociation a toutefois permis d’aller au-delà des préconisations de la commission, l’acheteur ayant finalement accepté d’acquérir le bien pour 5,1 millions de dollars NZ, ce qui est conforme à la première évaluation de la CEI, et correspond à la réalité du prix du marché annoncé par les experts néo-zélandais qui ont estimé que le prix auquel le bien avait été acheté en 2006 (7,6 millions de dollars NZ) avait été surévalué.
Le maintien de cette propriété dans le patrimoine immobilier du pays nous aurait condamné à engager d’importants travaux de rénovation et de remise en état estimés à environ 400 millions de Fcfp.
Au mois d’août, il avait été procédé à une vente aux enchères de ce bien du pays à Auckland. Mais la dernière proposition étant de 4,225 millions de dollars NZ, soit un montant bien inférieur à la fourchette de négociation (entre 5,1 et 5,8 millions de dollars NZ) fixée par la commission des évaluations immobilières (CEI), la vente n’avait donc pas été conclue.
A la suite de cette vente aux enchères, la commission des évaluations immobilières du pays avait à nouveau été saisie et avait accepté le principe d’une cession pour un montant inférieur à l’estimation initiale.
La négociation a toutefois permis d’aller au-delà des préconisations de la commission, l’acheteur ayant finalement accepté d’acquérir le bien pour 5,1 millions de dollars NZ, ce qui est conforme à la première évaluation de la CEI, et correspond à la réalité du prix du marché annoncé par les experts néo-zélandais qui ont estimé que le prix auquel le bien avait été acheté en 2006 (7,6 millions de dollars NZ) avait été surévalué.
Le maintien de cette propriété dans le patrimoine immobilier du pays nous aurait condamné à engager d’importants travaux de rénovation et de remise en état estimés à environ 400 millions de Fcfp.
