Aujourd’hui, le groupe IA ORA TE FENUA, lors d’une conférence de presse, a proposé un appel au rassemblement à tous les élus de Tarahoï, énième tentative de stabilité après celle lancée par le président TONG SANG en avril 2010… restée sans réponse, notamment de l’UPLD !
Peut-on réellement penser qu’il s’agisse d’un problème lié au nombre d’élus dans une majorité, et non un problème de personnes et de rancunes personnelles ?
Considérant que tous les élus doivent avant tout penser à doter le pays d’un budget pour que la population ne soit pas prise en otage des tractations, le groupe de Jean-Christophe BOUISSOU appelle le président TONG SANG à démissionner une fois le budget voté.
Dont acte ! M. BOUISSOU accepte en définitive la proposition du président TONG SANG, faite fin 2010, il y a donc plus de deux mois, qui consistait à prioriser l’adoption du budget avant qu’il ne démissionne au mois d’avril 2011, en vue de la formation d’une nouvelle majorité jusqu’en 2013.
Le pays aurait préféré que cette entente se fasse sans qu’il soit nécessaire de rejeter une première version du budget, faisant perdre plus de deux mois au pays dans ses projets d’investissements… entre autres ! Budget rejeté, si l’on en croit certaines déclarations d’élus IA ORA TE FENUA en commission, pour des raisons politiques (politiciennes ?) et non techniques !
Ce budget, qui a tant fait gloser, est pourtant un budget réaliste, qui tient compte des besoins du pays pour relancer l’économie tout en engageant tous les efforts pour réduire au maximum les dépenses inutiles.
Mais il serait utopique de prétendre que ce budget, et notamment l’ensemble des mesures propres aux comptes sociaux du pays, puisse être financé sans augmenter certaines taxes (de façon raisonnable) ou de supprimer des exonérations contextuelles qui ne trouvent plus aujourd’hui leur raison d’être, à l’heure où tout le monde doit participer à l’effort collectif.
Et il serait encore plus utopique d’appeler à des réformes sans tenter d’apurer la situation au préalable, de même qu’espérer que ces réformes se réalisent d’un claquement de doigts en quelques semaines. Pourtant, pendant que l’assemblée tergiverse, le gouvernement avance ; pour preuve l’état des finances à fin 2010 !
Ainsi, puisqu’il semble que le groupe IA ORA TE FENUA (anciennement TO TATOU AI’A !) accepte, en définitive, les propositions initiales du président TONG SANG, nous ne pouvons qu’appeler ce groupe à joindre les actes à la parole dans les plus brefs délais pour voir, enfin, surgir une nouvelle majorité, sans qu’il soit besoin d’appel solennel.
Il aurait d’ailleurs été judicieux et plus pragmatique d’attendre un véritable accord de tous les groupes avant de lancer un appel sans certitudes !
L’heure est véritablement aux actes, non à la parole
Peut-on réellement penser qu’il s’agisse d’un problème lié au nombre d’élus dans une majorité, et non un problème de personnes et de rancunes personnelles ?
Considérant que tous les élus doivent avant tout penser à doter le pays d’un budget pour que la population ne soit pas prise en otage des tractations, le groupe de Jean-Christophe BOUISSOU appelle le président TONG SANG à démissionner une fois le budget voté.
Dont acte ! M. BOUISSOU accepte en définitive la proposition du président TONG SANG, faite fin 2010, il y a donc plus de deux mois, qui consistait à prioriser l’adoption du budget avant qu’il ne démissionne au mois d’avril 2011, en vue de la formation d’une nouvelle majorité jusqu’en 2013.
Le pays aurait préféré que cette entente se fasse sans qu’il soit nécessaire de rejeter une première version du budget, faisant perdre plus de deux mois au pays dans ses projets d’investissements… entre autres ! Budget rejeté, si l’on en croit certaines déclarations d’élus IA ORA TE FENUA en commission, pour des raisons politiques (politiciennes ?) et non techniques !
Ce budget, qui a tant fait gloser, est pourtant un budget réaliste, qui tient compte des besoins du pays pour relancer l’économie tout en engageant tous les efforts pour réduire au maximum les dépenses inutiles.
Mais il serait utopique de prétendre que ce budget, et notamment l’ensemble des mesures propres aux comptes sociaux du pays, puisse être financé sans augmenter certaines taxes (de façon raisonnable) ou de supprimer des exonérations contextuelles qui ne trouvent plus aujourd’hui leur raison d’être, à l’heure où tout le monde doit participer à l’effort collectif.
Et il serait encore plus utopique d’appeler à des réformes sans tenter d’apurer la situation au préalable, de même qu’espérer que ces réformes se réalisent d’un claquement de doigts en quelques semaines. Pourtant, pendant que l’assemblée tergiverse, le gouvernement avance ; pour preuve l’état des finances à fin 2010 !
Ainsi, puisqu’il semble que le groupe IA ORA TE FENUA (anciennement TO TATOU AI’A !) accepte, en définitive, les propositions initiales du président TONG SANG, nous ne pouvons qu’appeler ce groupe à joindre les actes à la parole dans les plus brefs délais pour voir, enfin, surgir une nouvelle majorité, sans qu’il soit besoin d’appel solennel.
Il aurait d’ailleurs été judicieux et plus pragmatique d’attendre un véritable accord de tous les groupes avant de lancer un appel sans certitudes !
L’heure est véritablement aux actes, non à la parole
