Le Tahoeraa revient sur l'intervention télévisée de Teva Rohfritsch dimanche soir sur le plateau de Polynésie 1ère:
"Lors de son intervention dimanche soir sur Polynésie première, Teva Rohfritsch a une nouvelle fois attaqué le Tahoeraa Huiraatira. Ce n’est pas, comme il le pense, en répétant des contrevérités, que celles-ci deviendront la réalité.
Sans connaître le programme du Tahoeraa Huiraatira qui sera présenté au début du mois de mars, Teva Rohfritsch ment sciemment en affirmant, encore une fois, que M. Gaston Flosse souhaiterait emprunter cinq cents milliards F.CFP à la Chine pour financer des grands projets.
Qui est à ce point stupide pour dire ou croire de telles énormités au moment où notre pays peine à rembourser sa dette actuelle qui est pourtant inférieure à cent milliards F.CFP ?
Comme le président du Tahoeraa Huiraatira l'indique dans les nombreuses réunions publiques auxquelles il participe, le retour de la croissance économique et la création d'emplois ne pourront intervenir que dans le cadre d'une relance de la commande publique par des investissements structurants et productifs. Pour cela, il nous faudra au préalable réduire nos dépenses publiques, réduire les indemnités des élus, réformer notre fiscalité et diminuer notre interventionnisme dans l'économie.
Par ces mesures de redressement financier et de bonne gestion budgétaire, nous redonnerons de la visibilité aux investisseurs, nous redonnerons confiance aux prêteurs et à l'Etat pour nous accompagner dans la modernisation de notre collectivité.
Plutôt que de prétendre commenter le programme du Tahoeraa Huiraatira, Teva Rohfritsch ferait mieux d’indiquer l'état d'avancement de son programme. D'ailleurs, possède-t-il un programme ?
Au lieu de se perdre en belles phrases et de se gargariser de renouveau avec des politiciens ayant plusieurs décennies d'activité, Teva Rohfritsch devrait revenir sur terre et répondre à quelques questions simples. Est-il pour l'impôt sur le revenu ? Est-il pour la création d'une caisse de chômage en Polynésie? Comment compte-t-il relancer la croissance économique ? Compte-t-il emprunter pour financer d'éventuels investissements ?
.
En réalité, nous savons tous que ce dernier est dans l'impossibilité de répondre sans avoir consulté au préalable les membres encore présents de son attelage incertain et dont les avis divergent certainement. Une situation à laquelle devraient méditer ceux qui ont déjà oublié le naufrage du "To Tatou Ai'a"."
"Lors de son intervention dimanche soir sur Polynésie première, Teva Rohfritsch a une nouvelle fois attaqué le Tahoeraa Huiraatira. Ce n’est pas, comme il le pense, en répétant des contrevérités, que celles-ci deviendront la réalité.
Sans connaître le programme du Tahoeraa Huiraatira qui sera présenté au début du mois de mars, Teva Rohfritsch ment sciemment en affirmant, encore une fois, que M. Gaston Flosse souhaiterait emprunter cinq cents milliards F.CFP à la Chine pour financer des grands projets.
Qui est à ce point stupide pour dire ou croire de telles énormités au moment où notre pays peine à rembourser sa dette actuelle qui est pourtant inférieure à cent milliards F.CFP ?
Comme le président du Tahoeraa Huiraatira l'indique dans les nombreuses réunions publiques auxquelles il participe, le retour de la croissance économique et la création d'emplois ne pourront intervenir que dans le cadre d'une relance de la commande publique par des investissements structurants et productifs. Pour cela, il nous faudra au préalable réduire nos dépenses publiques, réduire les indemnités des élus, réformer notre fiscalité et diminuer notre interventionnisme dans l'économie.
Par ces mesures de redressement financier et de bonne gestion budgétaire, nous redonnerons de la visibilité aux investisseurs, nous redonnerons confiance aux prêteurs et à l'Etat pour nous accompagner dans la modernisation de notre collectivité.
Plutôt que de prétendre commenter le programme du Tahoeraa Huiraatira, Teva Rohfritsch ferait mieux d’indiquer l'état d'avancement de son programme. D'ailleurs, possède-t-il un programme ?
Au lieu de se perdre en belles phrases et de se gargariser de renouveau avec des politiciens ayant plusieurs décennies d'activité, Teva Rohfritsch devrait revenir sur terre et répondre à quelques questions simples. Est-il pour l'impôt sur le revenu ? Est-il pour la création d'une caisse de chômage en Polynésie? Comment compte-t-il relancer la croissance économique ? Compte-t-il emprunter pour financer d'éventuels investissements ?
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En réalité, nous savons tous que ce dernier est dans l'impossibilité de répondre sans avoir consulté au préalable les membres encore présents de son attelage incertain et dont les avis divergent certainement. Une situation à laquelle devraient méditer ceux qui ont déjà oublié le naufrage du "To Tatou Ai'a"."
