Le Fetia Api communique au sujet de son positionnement suite au dépôt de la motion de défiance par l'UPLD.:
" Une nouvelle motion de défiance vient d’être déposée, marquant semble-t-il l’épilogue de nombreuses semaines, voire de nombreux mois de paralysie institutionnelle et économique. Le FETIA API en prend acte. Cette motion était devenue inéluctable puisque le Président du Pays n’était plus soutenu que par 9 représentants sur 57 élus à l’assemblée de la Polynésie française. Monsieur Tong Sang aurait dû d’ailleurs en tirer toutes les conséquences plus tôt et aurait dû proposer sa démission depuis longtemps, car cette démission était la seule réponse honorable à cette situation.
Malheureusement, la Polynésie française doit encore se préparer à quelques semaines d’intenses et sordides négociations pour permettre - espérons le - de dégager une nouvelle majorité ; les négociations pour se répartir les ministères et les postes de prestige à l’assemblée vont aller bon train.
Malheureusement, quelque soit la majorité de demain, elle naviguera encore à vue – sans programme et sans vraie solution à apporter à la population qui pâtit de plus en plus de la crise économique.
Malheureusement toujours, la majorité de demain restera l’otage de quelquesuns qui, sous le couvert de “l’intérêt général” n’auront de cesse de privilégier leurs avantages personnels.
Les élus FETIA API ne participeront à aucune de ces manoeuvres et ne se prêteront pas à la “chasse” aux postes ; afin d’éviter toute spéculation sur leur attitude, ils ne participeront d’ailleurs pas à la séance prévue pour l'examen et l’adoption de cette motion.
Comme il le fait depuis un an, le FETIA API continuera à soutenir les textes qui lui semblent favorables au développement du Pays et s’opposera aux projets nuisibles, en étant affranchi des consignes de vote de tous groupes.
Enfin, le FETIA API souhaite que la majorité de demain puisse résister jusqu’au renouvellement des élus de l’assemblée, quelque en soit la date."
" Une nouvelle motion de défiance vient d’être déposée, marquant semble-t-il l’épilogue de nombreuses semaines, voire de nombreux mois de paralysie institutionnelle et économique. Le FETIA API en prend acte. Cette motion était devenue inéluctable puisque le Président du Pays n’était plus soutenu que par 9 représentants sur 57 élus à l’assemblée de la Polynésie française. Monsieur Tong Sang aurait dû d’ailleurs en tirer toutes les conséquences plus tôt et aurait dû proposer sa démission depuis longtemps, car cette démission était la seule réponse honorable à cette situation.
Malheureusement, la Polynésie française doit encore se préparer à quelques semaines d’intenses et sordides négociations pour permettre - espérons le - de dégager une nouvelle majorité ; les négociations pour se répartir les ministères et les postes de prestige à l’assemblée vont aller bon train.
Malheureusement, quelque soit la majorité de demain, elle naviguera encore à vue – sans programme et sans vraie solution à apporter à la population qui pâtit de plus en plus de la crise économique.
Malheureusement toujours, la majorité de demain restera l’otage de quelquesuns qui, sous le couvert de “l’intérêt général” n’auront de cesse de privilégier leurs avantages personnels.
Les élus FETIA API ne participeront à aucune de ces manoeuvres et ne se prêteront pas à la “chasse” aux postes ; afin d’éviter toute spéculation sur leur attitude, ils ne participeront d’ailleurs pas à la séance prévue pour l'examen et l’adoption de cette motion.
Comme il le fait depuis un an, le FETIA API continuera à soutenir les textes qui lui semblent favorables au développement du Pays et s’opposera aux projets nuisibles, en étant affranchi des consignes de vote de tous groupes.
Enfin, le FETIA API souhaite que la majorité de demain puisse résister jusqu’au renouvellement des élus de l’assemblée, quelque en soit la date."
